Pour Pascal:
"Quant aux labos, j'en ai essayé un peu partout en France et les tirages obtenus - du petit format bien sûr - ont à vous dégoutter d'acheter une émulsion... "
C'est que vous n'allez pas dans des laboratoires, mais des boutiques ou usines a développer, où la personne qui fait fonctionner la machine est un opérateur, qui appuie sur des boutons sans avoir plus de connaissance ou de formation dans le domaine de la photographie.
Je vais dans un labo fiable et n'ai pas vos soucis. Il y a de bons laboratoires, tenus par des professionnels.
Pour Henri:
"Le photographe moderne est beaucoup plus zen avec ses chers confrères qu'à la période de gloire du fric et de l'argentique et des grands labos, aucune comparaison."
Je crois Henri que tu te trompes !
Comme si la technologie avait changé les rapports entre photographes professionnels ?
Non, rien de changé dans ma région par rapport à la "grande époque", la concurrence est aussi âpre, le nombre de confreres capables de dialoguer, d'échanger ne sont ni plus ni moins nombreux.
Avant les photographes se rencontraient au laboratoire, et de ces dialogues pouvaient naitre des actions.
Le nombre de confrères capables de faire une action commune a même sérieusement chuté par rapport aux années 80, au vu des associations professionnelles.
A-M
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