Bonjour,
j'ai le plaisir de vous annoncer que la série de tirages originaux extrait du livre Autopsies (petite série, 10 images), dont nous avons déjà parlé sur ce site, sera présentée à partir du 2 mars lors de l'exposition "L'art est un jeu. Tant pis pour celui qui  s'en fait un devoir ! " au FRAC Alsace de Selestat, en compagnie de beaucoup d'autres artistes.
Toutes les infos ici :
[www.culture-alsace.org]


Pour information les tirages ont été réalisés par "el maestro" Gonzalo Castillo du laboratoire Cyclope ... et je m'incline devant son talent, son écoute des photographes et son professionnalisme !

Pierre

www.pierrefilliquet.com

Super nouvel!
Est-ce que tu seras présent au vernissage?

Philippe

Bonjour,
merci Philippe.
Malheureusement je ne serai pas présent au vernissage.... mais je verrai l'exposition en mars !
Pierre

www.pierrefilliquet.com

"Pour information les tirages ont été réalisés par "el maestro" Gonzalo Castillo du laboratoire Cyclope ... et je m'incline devant son talent, son écoute des photographes et son professionnalisme ! " : la valeur ajoutée par le tireur est à prendre en compte . Qui est l'auteur du cliché ? Si un tireur qui n'est pas l'auteur intervient , sa co-signature devrait figurer , et il doit participer à la propriété intellctuelle du tirage .
Même problème pour les artistes doubleurs traducteurs .
En dehors de ces dispositions de copropriété , pas de justice possible .
JG

Bonjour,
Bonne question ... à laquelle j'ai déjà confronté avec des "assistants" pour des prise de vue par exemple.
Je pense que la signature finale doit être celle de l'auteur car c'est lui qui porte TOUTE la responsabilité du projet (concept, réalisation, financements ....)
Si le tirage présenté au public est merdique c'est l'auteur que l'on critiquera, pas le tireur.

La justice, comme vous dite, c'est la mesure de la prise de risques et des engagements pris par chacun.

Bien sûr, chacun doit aussi être mis en valeur pour sa part de travail réalisée.
C'est un peu comme au cinéma : il y a une foule de gens qui travaillent pour un film, et il y a un générique ... mais c'est le réalisateur qui signe à la fin.

Pierre



Modifié 1 fois. Dernière modification le 18/02/2010, 13:44 par pierre f.

Je crois aussi que les salariés des labos ne souhaitent pas tellement un statut d'auteur assortit de la rémunération en agessa ;-)
Cela dit la notion d'auteur est en pleine expansion, les maquilleurs par exemple ont fait valoir leur reconnaissance. Le garçon-coiffeur qui rêvait hier d'être photographe est aujourd'hui un artiste sur la photo ;-))