Il semble bien que l'esprit encore embrumé du Viognier de Michel Guigue, j'aie confondu le pseudo de Garry How, avec le nom, celui là bien réel de Harry How, modeste coureur cycliste Luxembourgeois et qui a gagné la tour des Flandres en 1951. Lui au moins ne perdait pas les pédales.

Mais je suppose que Garry How n'est qu'un cycliste de salon, à moins qu'il ne sponsorise quelques malades du vélo entraînés à des épreuves d'effort, histoire au moins d'en faire claquer un.

Spécialiste de la tambouille, sûr qu'en tant que directeur technique il ferait dans le "pot belge".

Quand à reconnaître une ragazza dans le noir, ce ne peut-être qu'une vantardise de macho petitement membré.

Je ne salue plus cette petite arsouille, ce méchant homme, cet ennemi des viellards, sur le point de devenir un nouvel avatar d'un Dr Petiot de banlieue, et qui n'a même pas lu "Voyage au bout de la nuit", comme le montre sa pauvre littérature à l'expression ringarde digne d'un Paul Bourget.

Enfin, je veux bien être le "Dindon" de la farce mais sûrement pas le "Barbon". Le dindon tel le paon dans ses élans amoureux est bien capable de montrer à Garry How ce que le barbon a su conserver intact de sa belle jeunesse à savoir son cul, expression tout à fait convenable en vieux français et qui je le souhaite ne pourra que choquer ce Garry à la mine enfarinée et quelque peu coincée, bien propre sur lui, et qui ne pratique que la langue verbeuse et prétentieuse des salons parisiens, avec cet accent de coquelet que l'on sait inimitable par un provincial bien né.

Je ne salue pas cet homme de nulle part, dissimulateur et fourbe, traître en amitié et Lecteur assidu de Paul Bourget. Toute personne ici avertie saura le démasquer, le dénoncer, lui qui a tenté de saper les bases de notre Institution, je veux dire Galerie Photo. N'est-il pas parvenu à tromper la sagacité et la grande expertise de notre vénéré Webmaster ainsi que l'amitié d'une future gloire de la philosophie transalpine, la prometteuse Clara Ferrago.

Cet homme là, sapé dans le genre, "j'ai survécu à la guerre de 14", est un vrai sapeur qui détruit l'édifice par ses fondement. Galerie-Photo, site de haute résolution, s'adressant à des hommes de haute résolution, saura résister à ce petit monsieur, qui sous le couvert de quelque profession libérale, peut être même de santé, se livre à des activités terroristes.

Comme il est dit en Tunisie, pays du jasmin et de la liberté. "Emshi Lybia", ce qui se traduirait en français coincé, le seul qu'entende Garry How. "Je vous prie, cher ami, de bien vouloir songer à quelque voyage en Grèce. Après tout c'est le printemps, et nous sommes bien en Avril. Pour sûr le Parnasse est couvert de crocus et de tulipes naines. Pensez tout de même à prendre une petite laine."

Mougin



Modifié 2 fois. Dernière modification le 04/04/2011, 11:34 par mougin.

Décidément, les références de monsieur Mougin traduisent bien son âge... bientôt, il va nous parler de Marcel Prevost, académicien quelque peu oublié mais du même tonneau que Paul Bourget...

Le terme de barbon, comme nous l'indique le dictionnaire de l'académie française, me semble donc tout à fait adéquat.

"BARBON n. m. XVIe siècle. Emprunté de l'italien barbone, proprement « grande barbe », puis « barbu ».
Fam. et péj. Homme d'un âge avancé"

Mes amitiés à Carla la ragazza!
Pour ce qui est du barbon, je ne lui répondrai plus...

respects trichromes...

Gary How

l'ultime trichromie

Je vous prie, cher ami, de bien vouloir songer à quelque voyage en Grèce.

Depuis toujours, la Grèce historique a séduit les frères Gary (How & Hoow).

E.B.

Nous ne savons pas qui est cette Carla, mais sous ce qui ressemble à un beau poisson elle nous dit des choses intéressantes :

"La miniature et le monumental
D’un point de vue esthétique, on retrouve cette même opposition entre le toujours plus grand, toujours plus gros, qui sont les slogans d’une civilisation devenue obèse, prête à éclater et la résistance solitaire des gens de peu, des oubliés du progrès, mais aussi celle de ces solitaires, de ces quelques rebelles qui refusent le loi dominante, se mettent au ban comme le dit Agamben et s’obstinent au retour arrière et font le choix du recours aux forêts.

Faire le choix de l’Image par Réduction, c’est refuser l’Image Extralarge et Inframince, qui n’a d’épaisseur que celle du plexi qui la recouvre et dont on ne peut que bichonner la surface de peur qu’elle ne se raye, c’est choisir l’image qui voyage, nomadise, plutôt que celle intransportable qui ne quittera guère la réserve obscure du musée, et qui quasiment jamais ne verra le jour de peur qu’elle ne vienne à pâlir, puis à disparaître."

Sur un forum américain consacré au collodion un Alex hollandais nous déballe aujourd'hui une belle 20" x 20" Bulgare. C'est une tendance actuelle chez mes collègues collodionistes ce désir de grand format. J'ai l'impression que nos amis américains nous colonisent l'imaginaire avec des trucs à la con du genre "Bigger is always better" citation d'un certain Eddie sur le même forum. A contre courant je viens de passer du 18 x 24 cm au 13 x 18 cm pour mes collodions à l'extérieur et j'en suis tout heureux d'autant plus que ce format est très agréable à manipuler, il est humain, on le tient facilement dans une main et il me contente vraiment. Est-ce que mes images seraient meilleures sur un format plus grand? J'en doute sérieusement. Il est donc probable que dans l'avenir je ne dépasse pas le 20 x 25 cm.
Sinon Carla on voit bien que vous êtes une italienne du nord.... A Cefalu le Christ est Pantocrator et non pas Pancrator mais peut-être s'agit-il d'un erreur de traduction, en effet comment quelqu'un qui se dit bouleversé par une icône d'Andreï Roublev pourrait commettre une telle erreur.
En tous cas un dialogue de nos philosophes sur ce sujet du "Bigger is always better" serait très probablement éclairant pour nous autres petits capteurs de lumière.

Cher Emmanuel. N'oublie pas qu'il s'agit là d'une traduction littéraire très classe du populaire "Emshi Lybia".Il est de coutume d'attribuer à son voisin ses popre perversions. Sans nul doute que le comtois que tu es, n'ignore rien des nombreuses moqueries dont a souffert OIn Oin.

Jean-Claude

Merci mon cher Jacques d'avoir remarqué, qu'à la différence de la piètre production, de ce renégat de Gary mon texte a une certaine consistance et je m'étonne que ce que j'avance sur l'importance du format en photographie qui induit des lectures différentes d'une image que j'appelle fractale et stockastique n'ait pas suscité plus d'interrogation sur un forum fréquenté par des photographes.

Le format XL est le plus souvent univoque, un seul sens, et rappelons nous que ce sont des publicitaires qui ont inventé dans les années 70 le fameux montage diasec, destiné aux halls d'exposition, devenu aujourd'hui le montage obligé de la photographie contemporaine, une sorte de photo Formica. La miniature comporte toujours une équivocité du sens, plusieurs sens, plusieurs interprétations, par conséquent ouvre à une herméneutique et donc une liberté, alors que l'image XL participe de la domestication et de l'abrutissement généralisé. Un Gursky "vous en met plein la gueule" comme on dit en français, la miniature invite à entrer dans l'image, à en explorer la multitude des détails, des scènes, elle ouvre à un imaginaire à une érotique.

Je crois me rappeler que votre Roland Barthes appelle obscène ce qui est unaire. Le fractal, est indéfiniment multiplié, comme une mise en abîme. Un Gurski ne montre qu'une chose et il l'agrandit en la multipliant, toujours plus, c'est cela le stock. Mais le stock fait le moins, il apprauvit au détriment des plus pauvres comme le montre la spéculation économique, mais aussi la consommation esthétique. Qui aujourd'hui viendrait de France, en faisant 1500 km de route pour venir voir notre "Cité Idéale", tableau anonyme du Quatrocento et qui est le chef d'oeuvre d'Urbino que l'on peut voir dans le palais des Montéfeltre. Vous attendez que les tableaux viennent à vous dans des grands palais avec des expositions toujours plus monstrueuses avec tapage médiatique et management. Peut-être la verrez vous un jour avec le panneau de Berlin, si un jour Hubert Damisch parvient à réaliser son eposition sur la perspective au Quattrocento.

Urbino ne se trouve pas dans le nord, mais dans les marches, pas très loin de Sénigallia où a vécu le grand photographe Giacomelli (des images qui donnent à penser), pas très loins de Rimini ou de San Remo.

Pardon pour le Christ Pancrator, il s'agit là d'un anglicisme qui m' a échappé, sans doute la conséquence de l'obligation où sont les universitaires de publier en anglais. El la philosophie n'y échappe pas.

Amicalement à vous cher Jacques si clairvoyant

Carla

Carla,

Cause toujours! Si je ne t'avais pas fait connaître le travail de Michel Ramel, tu n'aurais pas pu écrire le joli texte que je t'ai demandé à ce sujet - texte dont j'ai été le premier à reconnaître les qualités et que j'ai imposé comme étant ton oeuvre à monsieur Peyre qui pensait y avoir reconnu mon style...

Sans rancune aucune...

PS: ne te laisse pas tournebouler par le barbon qui voit des moqueurs partout et finit en dindon!

respects trichromes...

Gary How

l'ultime trichromie