Moi je pense, cher ami, que mon insoutenable violence vous met au devoir de me désigner à la police ; ainsi, bien évidement, qu’à la SPA pour ce pauvre chat.
Il faut toujours aboyer et signaler les mauvais plaisants – et les mauvais esprits parfois enivrés de vers ou substances diverses…
Cela va de soi, mon bon monsieur.
Pardonnez de n’être point aussi long et laborieux que vous ; voyez vous j’ai à faire, demain à l’aube je me m’en vais humer la brise grisante de Venise la gâteuse.
Je me permets également de ne pas aller voir votre site.
Cordialement vôtre, et, surtout, merci du divertissement : je ne me lasse jamais de ricaner quelques instants.
Vévé
hervé
[
www.hervebaudat.com]