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Au sommaire de novembre 2010

- Anne FAVRET & Patrick MANEZ avec "Europe - le plan B"
- Benoit Rajau avec des photographies panoramiques au moyen format Noblex
- Le plus grand Van Dyke de Vincent Martin
- Le début de la publication des actes du Congrès de la Photographie Haute Résolution de Perpignan avec la Série en photographie (du soussigné) ; la suite des actes du congrès arrive le mois prochain.

Et merci encore à Pierre Corrage et ses proches pour l'impeccable organisation du congrès !

Bien à tous.

Merci Henri !

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D'abord merci pour ces nouveaux articles.
J'ai lu avec beaucoup d'intérêt celui sur la série, la mise en perspective avec la peinture est convaincante, j'en profite pour féliciter l'auteur pour la jolie couronne "tressée" à Monet ;-)

J'aurais cependant une petite réserve sur la fin, en particulier le texte concernant Jeff Wall : "On trouve même des photographies qui tente d’englober des séries ! En témoigne cette photographie de Jeff Wall, théoricien de la photographie tableau, qui a toujours lutté pour raccorder la photographie à la peinture figurative de la fin du XIXème siècle".
Je n'ai évidemment rien à redire sur le lien entre Wall et la peinture ouest européenne du XIXième, mais en revanche il faut rappeler que Wall a pratiqué la série quatre fois et ce , en respectant à la lettre les canons du genre :
- Movie Audience (1979)
- Young workers (1978-83)
- Children (1988)
Auxquelles il faut ajouter celle des Blind Windows (3 œuvres, 2000).

On a un peu tendance à réduire Wall exclusivement à la forme tableau dont il est un représentant certes hautement symbolique, en faisant l'impasse sur le reste.





gp écris : quelle ponctualité, Zoran ! ;)

N'est-ce pas ? ;)
Ps : ceci est la1 ère citation postérieure dans le message précédent ;)



Modifié 7 fois. Dernière modification le 26/10/2010, 14:52 par Zoran.

Chouette ! De la lecture !

Juste une ou deux petite remarque sur l'article sur la série. Un oubli d'importance, à mon sens : le livre Twenty Six Gazoline Stations de Edward Rusha en 1962 qui épouse parfaitement les caractéristiques de la "série documentaire" proposées par Henri et place cette série photographique dans un contexte artistique.
Sur la conclusion qui semble replacer dans un ordre chronologique la "fin de la photographie documentaire" et "l'émergence de la forme tableau", j'émets une réserve dans la mesure où la dite forme tableau pointe son nez seulement quelques années après la rétrospective de Walker Ewans, plus précisément lors de l’exposition “Signs of Life” à Washington en 1976, avec des agrandissements géants de photographies de Stephen Shore. Jeff Wall expose ses premières œuvres sur caisson lumineux en 1978. La série et la forme tableau se côtoient jusqu'à aujourd'hui, même s'il semble que les motivations tendent à différer, le tableau reprenant une forme de tradition picturale, et la série étant de plus en plus utilisée à des fins d'exploration sociologique, urbanistique, géographique et j'en passe.

En tout cas, merci.
(quelle ponctualité, Zoran ! ;) )



Modifié 2 fois. Dernière modification le 26/10/2010, 14:46 par gp.

J'ai un petit souci technique de mise en page, avec la mise en colonnes de l'article de H. Peyre (que je salue au passage)
http://www.galerie-photo.com/serie-en-photographie.html
Sur mon ordi, le texte est réduit à une mince colonne coincée à droite de l'écran, et la seul raison que j'aie trouvée est un texte d'avertissement mis au début concernant les problèmes de droits sur ces images. Peut-être ce texte pourrait-il être plus étroit, ce qui laisserait plus d'air pour l'article lui-même.

Ou bien c'est mon navigateur qui fait des blagues ?

E.B.

Bravo à Anne FAVRET & Patrick MANEZ dont je découvre et apprécie le travail, qui, au passage, règle définitivement son compte à la France de Depardon !
En plus je découvre aussi le lien vers la revue en ligne " Purpose " que je ne connaissais pas, mieux vaut tard...

Bravo à Anne Favret et Patrick Manet qui font un travail fort différent de celui de Depardon.

Les sites me plaisent beaucoup. Je les connais bien (il s'agit en gros ici de trois "zones" de Bruxelles) au quotidien. Trois des lieux montrés ici sont situés à moins de 500 mètres de chez moi. Ce qui me plait le plus, c'est la subtilité du mélange des lumières et la rigueur délibérée du cadrage. L'aspect systématique, effectivement très beckerrien, n'est pas étranger à l'attrait exercé: le spectateur trouve des repères solides. Le message est clair, limpide et costaud.

Ces choix délibérés en font quelque chose d'autre, disai-je, que le travail de Depardon. Pourquoi devoir forcément comparer dans le but de démolir l'un par rapport à l'autre?

PdF

Certains tableaux choisis par H. Peyre pour illustrer son propos concernant les séries me fait penser à cette allégorie du début du XVIII-ième siècle :
L'archevêque de Moisenay tenté par une série de machines houanne chotte

E.B.

Très fort Emmanuel !

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FERMOB
Un intrus

Il faut les deux.

Max

Ceci, Merci à Henri Peyre
Son travail sur les séries est remarquable
Merci aussi au peintre Monet, (Il y eu , il y a peu, un superbe documentaire sur son travail sur Arte)

Merci, Henri pour ces réflexions. Personnellement, j'ajouterais, avec l'invention de la peinture abstraite géométrique, des travaux comme ceux des Delaunay ou de Mondrian. Mais ce ne sont que des exemples parmi quelques centaines. En photo, je me souviens du travail en couleurs de François Hers sur les intérieurs de HLM. Des recensements, en quelque sorte.

Il est vrai que depuis un certains temps, la série est devenue en photographie une vraie systématique. Un tel va vous montrer une anthologie des murs de briques, un autre les monuments aux morts des Pyrénées au Rhin... Quel ennui...

A bientôt !!!

PdF

Merci Philippe d'avoir propagé cette idée:
"un autre les monuments aux morts des Pyrénées au Rhin..."
En voiloi une bonne idée créative !

on va devoir se faire ce genre d'expositions dans pas longtemps, si je comprends bien ?
:-)

C'est parfois cela , la photo documentaire : un cataloguage.
Tout comme bien des thèses ou bouquins, des compilations sans création.

Si cela peut te rassurer, pour l'instant, je n'ai pas vu de photographes roder autour des monuments aux morts au bord du Rhin.
Mais je ne peux les surveiller tous, de l'aube aux plus profondes lueurs de la nuit !
:-)

A-M
(pourvu que les photographes du coté de la ligne Siegfried soient attentifs!)

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Une mention pour les panoramiques de Benoît Rajau qui, en rupture avec la perspective "orthodoxe", apparaissent sans point de vue déterminé — ou plutôt avec plusieurs points de vue.
La difficulté éprouvée pour le spectateur à y prendre pied traduit bien le côté inhabitable de ces lieux.

<<- Anne FAVRET & Patrick MANEZ avec "Europe - le plan B"

J'aime bien ce travail, la qualité des images, la méthode, les lumières soignées, tout ce qu'il faut.
Je remarque avec plaisir la cohérence du projet.
Je leur souhaite de poursuivre ce plan B et de trouver expos et livres sur leur chemin.

Merci Henri pour cette découverte.

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No Pasaran
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"Bravo à Anne FAVRET & Patrick MANEZ dont je découvre et apprécie le travail, qui, au passage, règle définitivement son compte à la France de Depardon !
"

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C'est comique parce que F&M ont photographié la Belqique...:-))

Cela dit, j'ai trouvé leur production plate (Plat pays ?) et la référence à Perec saugrenue : Perec a écrit "La disparition" en évitant la lettre E (=Eux, ses parents) alors que F&M n'évitent pas la lettre B...:-))

J'en ai discuté hier avec Patrick.
C'est pour lui un échappatoire indispensable pour la santé mentale d'un professeur de photo.

Bruxelles, séjour de trois semaines, 70 plan films pour une sélection de 28, travail facilité par la proximité des labos à Bruxelles, en plus à un tarif imbattable (heureux belges !).

Leur projet à compte d'auteur est prévu pour évoluer encore vers trois autres villes européennes mais pas des capitales, choisies chacune pour un sujet qui lui est propre. Les photos de Bruxelles doivent être exposées aux prochaines rencontres à Lille.

Technique simple, une folding Horseman, un 135mm Nikon, un spotmètre.

Des gens sympas, passionnés, qui iront probablement loin sur leur chemin.

Dominique Pellissier écrivait:
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> "Bravo à Anne FAVRET & Patrick MANEZ dont je
> découvre et apprécie le travail, qui, au passage,
> règle définitivement son compte à la France de
> Depardon !

> C'est comique parce que F&M ont photographié la
> Belqique...:-)) >

Je ne faisais pas allusion à la géographie mais bien à la qualité du travail et particulièrement à la lumière, dimension absente du travail de RD...

ben voyons, c'est sûr qu'après ça RD peut aller pointer à la caisse de retraite...

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Tout et n'importe quoi, au jour le jour

Au moins comme ça on ne le verrait plus dans tous les medias depuis près d'un mois...

Ayant 68 ans Raymond D doit déjà percevoir sa retraite.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 28/10/2010, 16:37 par Raphaël.

certains se félicitent de cette publicité faite au grand format, d'autres vomissent ce trop plein médiatique par les narines alors qu'il n'y a qu'à tourner le bouton...

mais dire que 4 photos de Bruxelles règlent définitivement son compte à la France de RD, c'est quand même aller sacrément vite en besogne !...

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didier d écrivait:
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> mais dire que 4 photos de Bruxelles règlent
> définitivement son compte à la France de RD, c'est
> quand même aller sacrément vite en besogne !...

Je reconnais !!! Mea culpa...
Mais l'omniprésence de RD m'exaspère, même Doisneau en son temps n'a pas eu une telle médiatisation, pourtant photographe populaire s'il en est....

qui est responsable de cette surmédiatisation? (je pose naïvement et sincèrement la question)

que cela exaspère, je peux facilement le comprendre, il faudra y revenir dans un an ou dix pour ne parler que des photos...

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<<Mais l'omniprésence de RD m'exaspère, même Doisneau en son temps n'a pas eu une telle médiatisation, pourtant photographe populaire s'il en est....>>

Franchement, je ne pense pas que l'on puisse faire trop le reproche de la médiatisation à Depardon. D'autres, membres de l'Académie de surcroit, sont plus experts en la matière. La médiatisation présente prend corps à partir de la publication d'un ouvrage, fruit d'un travail de plusieurs années. Je doute fort que ce livre se recyclera en version poche, en agendas, en tirages de luxe à reliure cuir sur papier velin, ou autres frivolités. Car on n'est pas dans de la jolie image, avec les caravanes de chameaux au soleil couchant ou les champs de colza formant de merveilleuses géométries.

Trop quotidien pour être consensuel, Depardon nous propose un témoignage actuel sur une France encore actuelle. C'est beaucoup plus la France de Chirac que celle de Sarko. Elle est moins visible de tout un chacun car elle sort des autoroutes négociées sans perdre une minute.

Sa présence dans les médias a duré une semaine, certes menée tambour battant. Espérons que cela lui permette de meilleures ventes que son ouvrage précédent sur les fermiers "de son enfance". Il était pourtant aussi présent dans les médias.

Si Doisneau n'a pas été médiatisé à son époque, c'est simplement parce qu'il s'agissait d'une autre époque. HCB non plus ne l'a pas été. Je ne suis pas sûr qu'il en ait eu envie.

PdF

"C'est beaucoup plus la France de Chirac que celle de Sarko. Elle est moins visible de tout un chacun car elle sort des autoroutes négociées sans perdre une minute. "

Avis de parigo, ou presque (car je crois que Pdf n'est nullement parisien)
La france de 64 millions d'habitants, dans des environnements diversifiés, est souvent résumée par des médias parisiens qui aiment simplifier, voire caricature...
paris qui au plus large ne comprend que 15 millions d'individus. Une minorité.

Les médias français que l'on entend le plus ne reflètent pas la france, et forcément, il peut y avoir un décalage lorsque l'on se confronte a la france réelle...
Depardon le fait, a sa sauce néo-nostalgique-tristounette.
mais la réalité de la France est loin, très loin, de celle des médias parisiens.

j'écoute et lis les médias nationaux (enfin, ...parisiens) tous les jours, et c'est parfois a mourir de rire.
Parfois les journalistes ont du bon sens, vont dans le bon sens, ont du sens logique...
mais oublient juste, de leur statut de citadin auto-centrés, que 45 milllions de personnes vivent en dehors de paris et de ce petit cercle médiatique
:-)
C'est rigolo, des gars qui ont fait des études et des années de bagarres médiatico-politiques pour avoir un poste, mais ne savent pas faire une addition ni s'ouvrir l'esprit un minimum !
:-)

Et ce genre de concentration fait que l'artiste (avec un grand "a", non je n'ai pas dit "ha"?) peut devenir, dans une concentration centralisée et médiatique, "l'artiste obligatoire" si le reste des institutions suivent, doigt sur la couture, sans ancune indépendance, réflexion ou choix possibles.

Et ce genre de "culture obligatoire", si elle a un certain succes dans les institutions nationales (rien a penser, pas de risque, juste a acquiescer) n'augure pas d'un succes populaire, et encore moins international !
(en général dans ce cas, c'est le couperet, sorte de guillotine en retour...)

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L'ultra médiatisation de RD est particulièrement lourde, mais comme toujours imposée par le "centre", la pointe de la pyramide, les hautes sphères, enfin typiquement "l'artiste institutionnel" a la française.

Tout cela sans nier le travail, la démarche de Raymond depardon;
Critiquer son travail n'est pas le sujet de ce fil, je ne m'engagerais pas sur cette voie.
RD mérite peut être tout a fait tout ce battage médiatique

Ce qui est étonnant c'est cette concentration centrée sur la sortie du bouquin;
opération commerciale, donc.
mais si son oeuvre méritait louanges, critiques, études, pourquoi cet empressement autour de la sortie du livre, à la rentrée, avant la période de noel ?
C'est ce qui me choque un peu, cela parait tout de suite suspect, comme si le livre devenait invendable quelques semaines après, comme si son travail ne pouvait tenir quelques mois...

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Alain-Marc,

Je crois que le travail de Depardon, même s'il n'est pas exempt d'imperfections comme beaucoup l'ont souligné ici, rend un grand service à la photographie telle que nous l'entendons ici: un art qui s'exerce avec des moyens techniques, un parti-pris "photographique", une réflexion et les choix adéquats.

L'utilisation par RD de la 20x25 a des effets "collatéraux" sur le public. J'expose actuellement en Galerie des transferts pola 20x25 fait à partir de 809 (quelques uns en ont vus au Congrès). Le jour du vernissage, plusieurs personnes m'ont dit: "c'est le même appareil que Depardon?"

J'ai lu et écouté le battage médiatique, notamment le Telerama: c'est quand même bien que cette photographie lente et pensée soit mise en avant. Si RD fait son beurre là dessus, je suis content pour lui. Pour moi (je connais l'homme, ayant fait ma première grande expo à côté de lui en 82 à Montpellier, sur New York) c'est un vrai photographe, cultivé, réfléchi... et ayant bien su "utiliser" les fonds publics d'aide!!!

Une anecdote à propos du bonhomme: Lors de la présentation de son travail sur le Languedoc Roussillon en 2009 à Perpignan il y avait très peu de monde au vernissage, je parlais avec lui quand un jeune homme nous a interrompu en lui demandant "quels conseils donneriez vous à un jeune photographe?" RD a soufflé, haussé les épaules et les bras "Je ne sais pas moi.., que voulez vous que je vous dise... Ah, oui: Soignez la forme!!"


Quand je pense que quand l'Académie des Beaux-Arts a choisi 2 photographes elle a pris YAB et Clergue, j'ai quelques regrets pour RD.

PS: si vous avez le temps, relisez "Correspondance New Yorkaise" (1981, où envoyé spécial de Libé il envoyait une demi-page par jour). C'est du 24x36 mais...

Pierre Corratgé
[www.pierrecorratge.com]
[pierrecorratgephoto.wordpress.com]

Amusant ce rapprochement entre Favret-Manez et le Raymond. Je n'avais pas percuté, mais je pense que ce n'est pas sans une certaine malice que cet article tombe pile ce mois-ci, juste après de longues discussions sur La France de Raymond, et, dès les premières lignes de l'article de ce mois, cette information : "nous avons décidé de focaliser notre approche sur les petits commerces de proximité".
Raymond n'aurait pas dit moins.

Ceci mis à part, ce travail — certes "propre et rigoureux" — et surtout sa réception montrent comment la photographie d'inventaire, "de collection en série", est aujourd'hui parfaitement assimilée et acceptée au point qu l'on pourrait se demander si ce n'est pas devenu une forme d'académisme !
Au delà de cet aspect, les images présentées sont peut être sauvées de l'ennui inhérent au genre par cette lumière de "basculement entre nuit et jour", moment où intérieurs et extérieurs sont visibles, moment où la ville ne se lit plus seulement en surface, mais dans son épaisseur, ses creux.

"Amusant ce rapprochement entre Favret-Manez et le Raymond. Je n'avais pas percuté, mais je pense que ce n'est pas sans une certaine malice que cet article tombe pile ce mois-ci, juste après de longues discussions sur La France de Raymond, et, dès les premières lignes de l'article de ce mois, cette information : "nous avons décidé de focaliser notre approche sur les petits commerces de proximité".
Raymond n'aurait pas dit moins. "

HP pro RD????? Mdr...de la provoc à 2 balles

Sinon allez voir l'expo.Et celles des autres, au couloir, il ya une paire qui valent la peine.

Regardez les gens autour de vous.

Allez voir aussi Kertesz ou alors vous auriez vu ceux qui defilaient pour KL au MEP.

RD c'est capital pour le film pour le GF un moment ou on "photographie" au téléphone portable.

Si le travail de Rajau montre un peu d'originalité et suit la mouvance Basilico celui de nos 2 tetes d'affiche c'est du RD pur et dur...et le reste les capitales le B ou le Z de l'intellect à 2 balles.

RD c'est pas YAB ni Clergue.

Faut arreter de se prendre la tête avec RD.
RD pose problème à beaucoup des gens ici pour des raisons diverses, ils se reconnaitront.

Il a une trajectoire que beaucoup des gens envient ici.

AP