Ha ha ha !
Je me marre !!!
Sans une poignée de fous bénévoles, bien des espèces fruitières auraient aujourd'hui disparues !!!

Faire confiance aux politiques pour gérer un pays est une solution de paresse et de facilitée.

Les politiques de tout crins sont des joueurs de pipeau qui ont toujours eu besoins des forces civiles et militaires pour perdurer.
C'est un mal nécessaire, mais un mal tout de même.

ioury écrivait:
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> Ha ha ha !
> Je me marre !!!
> Sans une poignée de fous bénévoles, bien des
> espèces fruitières auraient aujourd'hui disparues
> !!!

Pas des bénévoles, des exploitants, des autarcistes, mais rien de bénévole.

> Faire confiance aux politiques pour gérer un pays
> est une solution de paresse et de facilitée.

Faut les deux tout simplement, difficile de faire des grands travaux soi-même

> Les politiques de tout crins sont des joueurs de
> pipeau qui ont toujours eu besoins des forces
> civiles et militaires pour perdurer.
> C'est un mal nécessaire, mais un mal tout de même.

Petit rigolo ...

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No Pasaran
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"Sans une poignée de fous bénévoles, bien des espèces fruitières auraient aujourd'hui disparues !!! "

vous semblez bien sur de vous.

o7 philippe

Vous êtes de grands naïfs.
C'est mignon !

"Vous êtes de grands naïfs."

oui mais j'ai commencé petit. Cela donne de l'expérience, et de la volonté.

o7 philippe

ioury écrivait:
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> Vous êtes de grands naïfs.
> C'est mignon !

C'est toi le naïf,
Et un naïf sans mémoire,
Fustiger le politique, qui n'est rien d'autre qu'une organisation sociale,
Et hurler à la mort quand un concours est ouvert dans sa région, dans sa spécialité,
Et que le politique ne prend pas le temps de prévenir individuellement les éventuels participants locaux,
Qui voudraient bien participer à cette gabegie politique.

C'est bien ce que je dis, tu n'es qu'un rigolo sans mémoire, qui ne connait même pas le sens des mots.

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No Pasaran
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Henri Gaud écrivait:
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> ioury écrivait:
> --------------------------------------------------
> -----
> > Vous êtes de grands naïfs.
> > C'est mignon !
>
> C'est toi le naïf,
> Et un naïf sans mémoire,
> Fustiger le politique, qui n'est rien d'autre
> qu'une organisation sociale,
> Et hurler à la mort quand un concours est ouvert
> dans sa région, dans sa spécialité,
> Et que le politique ne prend pas le temps de
> prévenir individuellement les éventuels
> participants locaux,
> Qui voudraient bien participer à cette gabegie
> politique.
>
> C'est bien ce que je dis, tu n'es qu'un rigolo
> sans mémoire, qui ne connait même pas le sens des
> mots.


Mais je me marre !!!

"Sans une poignée de fous bénévoles, bien des espèces fruitières auraient aujourd'hui disparues !!! "

pas autant que moi.

o7 philippe

o7 philippe écrivait:
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> "Sans une poignée de fous bénévoles, bien des
> espèces fruitières auraient aujourd'hui disparues
> !!! "
>
> pas autant que moi.
>
> o7 philippe


[www.croqueurs-de-pommes.asso.fr]

Il n'y a pas que les pommes!

[fr.wikipedia.org])

[www.rue89.com]

Mais je ne vois pas bien le rapport avec la disparition de Gabriele Basilico...

Jean-Paul Mahé écrivait:
-------------------------------------------------------

> Mais je ne vois pas bien le rapport avec la
> disparition de Gabriele Basilico...

L'Urbanisation

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No Pasaran
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Et le fait que l'urbanisation continuera sans lui (et un jour sans nous) malgré les critiques qu'il à soulevé envers elle comme le soulignait un peu plus haut dans cette discussion, l'intervention de son fidèle ami datarien B.B.

Henri Gaud écrivait:
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> Jean-Paul Mahé écrivait:
> --------------------------------------------------
> -----
>
> > Mais je ne vois pas bien le rapport avec la
> > disparition de Gabriele Basilico...
>
> L'Urbanisation

OK, l'urbanisation a voir avec la disparition des surfaces naturelles et agricoles, la modification des paysages, la diminution de la biodiversité; mais dans le cas précis de la raréfaction des espèces végétales cultivés c'est plutôt le système de production agricole qui en est le responsable et là on s'éloigne un peu de Gabriele Basilico.

Jean-Paul Mahé écrivait:
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>
> OK, l'urbanisation a voir avec la disparition des
> surfaces naturelles et agricoles, la modification
> des paysages, la diminution de la biodiversité;
> mais dans le cas précis de la raréfaction des
> espèces végétales cultivés c'est plutôt le système
> de production agricole qui en est le responsable
> et là on s'éloigne un peu de Gabriele Basilico.

La comparaison portait sur la gestion de milieu,
Le milieu urbain, ou le milieu rural,
D'ou des comparaisons plus ou moins opportunes.

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No Pasaran
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Jean-Paul Mahé écrivait:
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> Henri Gaud écrivait:
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> > Jean-Paul Mahé écrivait:
> >
> --------------------------------------------------
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> >
> > > Mais je ne vois pas bien le rapport avec la
> > > disparition de Gabriele Basilico...
> >
> > L'Urbanisation
>

> OK, l'urbanisation a voir avec la disparition des
> surfaces naturelles et agricoles, la modification
> des paysages, la diminution de la biodiversité;
> mais dans le cas précis de la raréfaction des
> espèces végétales cultivés c'est plutôt le système
> de production agricole qui en est le responsable
> et là on s'éloigne un peu de Gabriele Basilico.

Entre 1981 et 2000 nous n'avons perdu que 2.3% environ (de mémoire) de nos surfaces forestières/agricoles/naturelles en France (à savoir que les territoires forestiers ont progressés) alors que notre progression démographique frise les 12 % sur la même période avec une forte concentration de cette progression en zone urbaine, ce qui tend à prouver que "la ville" impacte peu la destination des territoires car elle occupe moins d'aire que le développement de l'habitat individuel, en gros la cité est presque la seule solution si l'on continu sur le modèle des sauterelles d'Egypte. Ce qui est plus pénalisant à observer dans le cas de fortes concentrations urbaines, c'est la gestion de la pollution liée à de forte concentration de population, quoique là encore, en matière d'assainissement le collectif permet d'accéder à des technologie ou des méthodes mutualisées moins polluantes par individu que ce que l'on peut faire à l'échelle rurale ou dans des territoires à faible densité humaine. Pour raisons professionnelles j'irais le 8 à l'inauguration d'une station dernière génération (inodore en plus ;-))# je vous raconterais..

Je ne pense pas que l'on s'éloigne de Basilico, il plaçait le questionnement du modèle urbain et du mode d'habitat en général au coeur de ses recherches.

« Nous n’avons plus besoin de chênes de 180 ans […] »
Cet arbre (qui plus est, indigène) fait partie de notre tout, il est plus que nécessaire et ne remplace ni ne se fait remplacer par rien.

« […] l’ONF, fondé par Hugues Capet […] »
J’apprécie le raccourci et l’entends fort bien mais là, Henri, tu exagères ! :-))) Nos rois ont protégé notre forêt (pour leurs bons plaisirs) mais l’Office national des forêts (ONF) détruit plus la forêt qu’il ne la protège en voulant la gérer comme un champ. (Faisons ici une différence entre une terre cultivée et un espace naturel.) Sur la forêt de plaine de la Bière (Fontainebleau), la première intervention de l’ONF, dès la création de cet organisme (en 1964), fut de couper tous les arbres anciens (notamment dans les « réserves artistiques », déjà protégées par François 1er, puis classées par Napoléon III sous l’égide du peintre Théodore Rousseau. C’est grâce aux services de l’environnement, ceux des eaux & forêts et de nombreux bénévoles que le pire a pu être stoppé. C’est toujours l’Office qui y organise la chasse à courre (en 4x4 !), l’Office qui placarde la forêt en peinture (via les Amis de la forêt), l’Office encore qui l’ensemence de Pins sylvestre (destruction du milieu par podzolisation des sols), l’Office qui donne du maïs aux sangliers, du sel aux cervidés, etc. Même les Réserves biologiques domaniales intégrales (RBDI) sont « entretenues » par l’ONF alors que le but de la RBDI est de laisser les choses se faire (intempérie, faune). Le statut et l’utilité de l’Office sont à revoir.

Les variétés fruitières font l’objet d’attention de nombreuses associations, c’est vrai, mais il faut reconnaître que le Museum national d’histoire naturelle gère les collections botaniques horticoles à merveille.

Haro sur les politiques ? rappelons tout de même que ces gens sont élus et que nous sommes les électeurs. Pour que nos politiques soient plus intègres, plus respectueux : prenons la place sans nous soumettre à la tentation ou bien informons nos concitoyens par le biais associatif ou tous autres moyens légaux.

Propos éloignés du fil sur Gabriele Basilico ? pas du tout, nous restons dans l’aménagement du territoire, naturel celui-ci. L’arbre n’était qu’« un exemple concret et simple », même si nous aimons les diverticules (et la diversité).

Mais… retrouvons-nous dans quelques mois à Toulon pour en parler de vives voix, non ?

Les chose ont je crois un peu changés depuis 13 ans et prendre les choses de façon globale sur l'ensemble du territoire ce n'est pas la même chose que de le voir localement.
[www.vie-publique.fr]

C'est une réponse à Raphaël



Modifié 1 fois. Dernière modification le 26/02/2013, 15:39 par Jean-Paul Mahé.

Merci Jean-Paul pour ce lien.

L'urbanisation de ces dernière années à modifiés profondément le paysage péri urbain. Les ceintures vertes qui étaient composés de jardins ouvriers, de vergers on quasi disparu pour être remplacer par de l'habitat. Ce refus de densification a été facilité par la liberté donné au élus de terrain d'organiser la construction de nouveaux logements comme il l'entendait. Des élus bâtisseurs en France ont proliféré.

La conséquence c'est un enclavement des activité agricole, un enrichissement par la vente de terrain constructible, l'encouragement par l'état centrale qui y a déversé des sommes importantes. Le verger familiale à quasi disparut, le jardin familiale est réduit au rang de loisir et non plus de fournisseur de légume principale.
Le pré-verger à disparut ainsi que al basse-cour familiale. Il reste dans certains village des "oasis" de verdure ou l'on peut lire les traces de cette vie qui date d'une quarantaine d'année. Des arbres francs majestueux en sont un signe. Les plantations récentes sont effectués sur des formes nanisantes dont la durée de vie ne dépasse pas 20 ans, sans compter les fruits malades.

On remarque côté Suisse et Allemand une volonté tout autres. Le politique a et continue à densifier les agglomérations. Des comparaisons simples peuvent être cités. Les casernes de nos villes de l'est ont été aussi construite en Allemagne dans la bade wurtemberg. Immobilier de centre ville, elles sont aujourd'hui inadaptés. Comparez réhabilitation de ces casernes à Belfort, Colmar, Mulhouse et celle de Fribourg en Bresgau. Dans cette capitale du bade-wurtemberg, le quartier de la caserne Vauban (eh oui) est un modèle d'habitat écologique. En France, tout cela est devenu, des bâtiments occupés qu'une partie de la journée par des administrations, des associations. Bref, pas d'habitat ni social, ni autres. Il suffit de voir des appartements urbains allemands pour comprendre qu'ils ont relevé le défi de la densification. Il suffit de se promener dans fribourg pour y voir cette activité très présente de ceinture verte avec énormément d'exploitation agricole produisant légumes et fruits.

Se rajoute à ce phénomène, le fait que l'expression du photographe d'architecture est limité par celles des ayants droits. Cela ne fait que s'amplifier puis que maintenant certaines illuminations même de plein jour ne permettent pas de commercialisé des photos libre de droits. On est dans donc dans une approche commerciale bien différente.

o7 philippe

<<« […] l’ONF, fondé par Hugues Capet […] »
J’apprécie le raccourci et l’entends fort bien mais là, Henri, tu exagères ! :-)))<<

Pas du tout, il ne s'agit pas du sigle ONF bien sûr,
Mais une administration centrale des forêts a été mise en place par Hugues Capet, et n'a jamais été remise en cause ensuite. Il s'agit de la plus vieille administration Française, si on laisse de côté l'Eglise bien sûr.

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No Pasaran
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+1
Merci Philippe d’apporter tant d’eau à mon moulin ! Sans doute avons-nous airé dans les mêmes milieux.
Suisse, Allemagne, Angleterre sous une autre forme, sont des modèles du genre sur le terrain ; la France, elle, possède les meilleurs outils juridique et technique… sans la cheville ouvrière.

Henri, tu me rassures ! c’est ce que je nomme les « Eaux & forêts » au sens large, effectivement, rien à voir avec l’ONF (même si les ingénieurs de l’un comme de l’autre, sortent souvent de Nancy).