Offre d'emploi en province

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No Pasaran
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S'il faut aussi reprendre le nom, c'est la croix et la bannière ;-)

;-))

On se croirait dans la Rubricabrac

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No Pasaran
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Je veux bien reprendre si il vend (beaucoup moins cher) le fond et les murs de sa boutique de Bourbon Lancy qui est dans environnement beaucoup plus sympa que celle qu'il propose, pour en faire le centre mondial de la photographie clivante. L'idéologue de ce mouvement habitant pas très loin... Des experts mondiaux seraient conviés à appliquer leur art au cours des mariages dans les campagnes environnantes et sur les binettes des autochtones.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 20/02/2012, 14:26 par Jacques.

j'imagine la binette des autochtones aux vues des résultats... :o))

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Sélection
Tout et n'importe quoi, au jour le jour

et vends mon fond de commerce

;-);-)

C'est sans doute un artisan qui a un bon fond.
Sinon Henri Gaud aurait déja fait des bonds !

E.B.

Je tombe des nus, il ne fait pas les enterrements.
Sauf les enterrements de la vie de garçon, qui se font à la bière, comme chacun sait.
Moi j'aurais peur des fantômes, des spectres et ectoplasmes qui doivent habiter le labo, avec pour seule lumière quelques feux follets.
Et puis on sait que dans ce métier, on crève la dalle.
Cette annonce me laisse de marbre.

J'avais un patron boutiquier photographe qui avait voulu se lancer dans la photo d'enterrement.
Le canard du coin avait ironisé, les méchants, en faisant un petit papier intitulé : "J'irai flasher sur vos tombes".
Le bougre s'est viandé.

--
Laurent
Bordeaux
[lc972.wordpress.com]

Bande de moqueurs !
:-0

Laurent C écrivait:
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> J'avais un patron boutiquier photographe qui avait
> voulu se lancer dans la photo d'enterrement.
> Le canard du coin avait ironisé, les méchants, en
> faisant un petit papier intitulé : "J'irai flasher
> sur vos tombes".
> Le bougre s'est viandé.

C'était une habitude avant guerre, non pas de photographier les enterrements, mais les personnes sur leur lit de mort. Et le photographe habile en retouche en tirait un portrait.... vivant. La famille qui n'avait quelquefois que cette seule représentation du défunt le trouvait naturellement ressemblant.
Cela a démocratisé ce que seul les plus riches pouvaient s'offrir : un moulage du visage du défunt qui pouvait être le point de départ à la création d'un buste.

JCL

Et un workshop "Photographie post mortem au collodion humide" au centre mondial de la photo clivante de Bourbon Lancy ça vous dirait ? (Selon la technique de Nadar mise au point pour la photo de Victor Hugo sur son lit de mort)

Bonjour,
merci pour l'annonce. Un job sympa dans un coin sympa et ce n'est pas cher.

Pour les photos des morts : j'ai vu des images du XIX dans lesquelles le mort est habillé, assis sur une chaise avec toute la famille autour. Tout ce beau monde dans leurs plus belles parures.
Ca fait froid dans le dos, sans doute parce que nous n'avons plus de contact avec la mort aujourd'hui, et en même temps c'est très touchant.
PF

pierre f écrivait:
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> Ca fait froid dans le dos, sans doute parce que
> nous n'avons plus de contact avec la mort
> aujourd'hui, et en même temps c'est très
> touchant.
> PF

C'est un peu un truc de chez nous. Dans d'autres cultures ça peut être différent. Il m'est arrivé à l'étranger que l'on me demande de photographier le défunt et toute la famille de se placer sans que je ne demande rien pour paraître sur sur l'image, certaines personnes ne pleurant que pour la photo.

Bonjour,
vous avez de la chance Jacques, ce doit être une expérience riche de sens.
Aujourd'hui en occident on n'aurait pas cette confiance envers un photographe sur un sujet pareil.
Et c'est bien dommage car, pour avoir pas mal travailler sur le thème de la mort, je pense que quand peut la regarder cela aide à l'accepter (à défaut de la comprendre, ce qui est impossible).
Dans quel pays était-ce ?
P.



Modifié 2 fois. Dernière modification le 21/02/2012, 12:48 par pierre f.

Je sais pas si c'est de la chance... C'était en Roumanie et Syrie. j'ai vu également pas mal de photos de morts conservés (et réalisées) par des familles ou des moines dans les pays orthodoxes. J'ai été invité à le faire aussi dans un monastère orthodoxe en France pour un moine (mais j'ai décliné). J'ai aussi photographié ma mère au cours de la bénédiction et de l'encensement de son corps par le prêtre orthodoxe. Sinon côté catho ou laïc en France c'est quasiment mission impossible, j'ai photographié quelques cérémonies funéraires mais la mise en bière était déjà faite et l'assistance supporte mal la présence d'un photographe, à l'exception des funérailles de frères Roger où le corps à été exposé aux fidèles qui pouvaient lui rendre un dernier hommage et la communauté a facilité le travail des photographes.

L'idéologue clivant s'apprêtant à casser sa pipe, (il s'agit là d'une véritable clive), est à la recherche d'un fonds sans commerce, que l'on appelle généralement concession perpétuelle. C'est la seule concession que je ferai à mon cousin qui a la langue clivée, ou fourchue pour ceux qui ne seraient pas au fait.

Mougin

:-))) Faut penser aussi aux Agapes pour l'après, c'est important.

Bonjour,

La devanture est déjà, à quelques points près, aux couleurs Kodak ! ;-))

"les agapes sont pour ceux qui restent, le bonheur est pour celui qui s'en va", proverbe scythe d'avant leur conversion à l'orthodoxie.

J-C

En plus commerce situé à Dompierre... tombale ?
Encore un commerce qui ... (bis)