cher gregvds ()

Un photographe quand il est digne de ce nom a ce pouvoir magique d'imposer un regard, son point de vue donc, une image d'Avedon se reconnaît entre mille. C'est la même chose pour un écrivain que l'on reconnaît à son style. Il n'empêche que l'oeuvre, la photoi peut acquerir une nouvelle existence en tant qu'objet. C'est cet objet qui emporte avec lui le mystère de sa création, et s'impose à notre contemplation. Il y a le plaisir que vous prenez à photographier des portes. Je souhaite à vos images de rencontrer le regard qu'elle mérité. Dans le cas contraire personne ne pourra vous enlever votre plaisir et cela compte. c'est du moins ce que je me ids pour mes propres images.

Tisseron est une bonne lecture. Le fait que la photo soit plus proche de la réalité que le dessin, ne fait qu'accroître son pouvoir de falsification, puisque spontanément on donne à l'image photographique un pouvoir testimonial. Sans contestation possible notre président est un grand sportif puisqu'il n'a pas de bourrelets. Du moins le croit-on jusqu'à ce qu'une autre image nee prouve le contraire, mais n'est-elle pas elle-même manipulée?

A juste raison vous nous rappelez que la photo n'a pas le même pouvoir d'émotion que la peinture? à quelques exceptions près. Cela sans doute tient-il à la qualité d'objet qui les sépare, l'une ayany plus de profondeur physique que l'autre. C'est devenu un lieu commun que de souliginer la platitude de la photographie.

Quand à votre dernière remarques on ne peut que les approuver, car elles vont un peu plus loin que le simple énoncé du relativisme contemporain qui fort heureusement est simplificateur.

Hypathie

cher Henri

"L'oeuvre d'art s'affiche comme un endroit qu'on
regarde"
"l'oeuvre d'art comme "lieu de mise en scène de la possibilité du changement de point de vue".

Tes énoncés m'apparaissent comme toujours aussi énigmatique, sans doute en raison de la surdétermination de leur sens. Comme tu nous promets un prochain développement, j'ai hâte d'en découvrir le contenu.

"l'esprit de l'athéisme d'André Comte-Sponville". Je ne partage pas ton enthousiasme pour cet auteur,, mais c'est par pur préjugé, n'en connaissant que son image publique et ignorant tout de ses ouvrages. Il m'apparaît comme une sorte d'Onfray (que j'ai un peu lu) dans le genre plus convenable toutefois. mais d'une façon générale je n'aime pas les moralistes surtout ceux qui en font profession. Mais je le répète ce n'est qu'un a priori, qu'il conviendrait sans aucun doute de réparer.

Hypathie donc

A thomas R

Pourquoi supporter toute la vulgarité du monde, puisque toi et moi nous en sommes. Es-tu capable de supporter ta vulgarité? La mienne m'est insupportable, et pourtant je dois faire avec.

Donne toi un pseudo de vierge pure.

Hypthie

Pawl

Oublie la chansonnette et remets toi au grec ancien, c'est ce que proposait Kojève enn 1968aux étudiants allemands révolté.

Enfin tu pourras devenir un vrai réac, un vieux de la vieille.

Hypathie

GP

La question part d'énoncés d'HP, mais les problèmes s'adressent à tous comme l'a bien compris gregvds (). D'ailleurs je ne pensais pas avoir de réponde de HP, du moins pas tout de suite le sachant très occupé par ailleurs.

Hypathie

"l'œuvre d'art comme lieu de mise en scène de la possibilité du changement de point de vue".

Cette définition est pourtant très claire.
L'homme rustre que je suis le voit ainsi (pardon pour l'auto-citation) : l'œuvre d'art advient par nécessité là où nous échouons à dire l'état de notre rapport au monde. Nourrie du monde connu (commun ? ), elle vaut pour connaissance nouvelle, valeur ajoutée au monde. En cela, elle se situe au bord du monde, juste à la limite entre le monde connu et l'univers des possibles, à la fois étrangère et familière, et c'est par un jeu subtil sur l'écart, le décalage — voire le mensonge pour ceux qui croient à une vérité —, qu'elle offre la possibilité de rendre visible et de déplacer les limites du monde.
La photographie, par son rapport ambigu au réel, est un médium de choix pour pointer juste au lieu où les choses peuvent se renverser. Un art de la limite ?

Questions: mougin pense-t-il par lui même? On peut en douter au vue de ses incessantes citations.
Ne devrait-on pas ouvrir une rubrique dédiée à mougin et Henri Peyre?
Les citations tout azimut de mougin ne traduisent-elles pas un manque de stabilité de la pensée. Ecran de fumée pour bluffer les béotiens, le troupeau aveugle que nous sommes (d'après lui).
Enfin enseigner la philosophie telle quelle est au programme de l'éducation nationale est-ce gagner honnêtement sa vie?
Préférer Claude François et Dalida à Brassens d'un point de vu esthétique qu'est ce que celà démontre?

Si je photographie quelque chose, tant pis pour elle!

Passionnant , piquant , que dire ! trop à dire et peu contre dire , des heures à penser convulsivement . Personnellement je suivrai . Un peu de délais . Un congrès des photons penseurs esthètes , sorte d'éon , à Nancy simultanément à la foire prévue prochainement de matériels photographiques . JG

Mon cher Hypathie,

Je prefere la musique que la photo même s'il s'agit de chansonnette ça un effet immediat...

Tu comprends, les ayant droit de Cloclo avec comme d'habitude comme chansonnette ils se sont fait les c____s en or tandis que toi tu viens nous bassiner d'Avedon ou de Tisseron ou de ta vierge de mirroring de ta prostate...

Qui connait Avedon?
Encore Tisseron de temps à temps il passe aux JT ça augmente les ventes mais le pauvre Richard s'il y avait pas la dernière au Jeu de Pomme...

Faut arreter aussi de raconter des betises du style :

"A juste raison vous nous rappelez que la photo n'a pas le même pouvoir d'émotion que la peinture? à quelques exceptions près. Cela sans doute tient-il à la qualité d'objet qui les sépare, l'une ayany plus de profondeur physique que l'autre. C'est devenu un lieu commun que de souliginer la platitude de la photographie. "

Arrete!!!

En quoi un Pollock vaut plus cher qu'une epreuve sur verre?Ou un daguerrotype?

C'est que du bla bla ton truc t'es un sophiste de pacotille!!!(Chaine en or qui brille dit la chansonnette!!!)

Hypathie je suivrai ton conseil pour le grec ancien à la retraite...au moins lire les textes à la langue originale a l'avanatge d'eviter la deformation de la traduction.

RAF de tes eluqubrations, forum mort ou pas fais toi une rubrique avec ou sans HP dans un coin style photo stereo....philo...c'est pas grave tant quee tu prends ton pied on est en democratie et tous les gouts sont dans la nature...rechansonnette...

Reac toi même car vierge!!!Reflechis un peu avant de parler et prendre un pseudo...

Allez sans rancune... esthete à 2 balles,

A+

AP

gp écrivait:
-------------------------------------------------------
> La photographie, par son rapport ambigu au réel,
> est un médium de choix pour pointer juste au lieu
> où les choses peuvent se renverser. Un art de la
> limite ?

Un art de la limite, oui, mais je pense que tout art ne parle que de limite et de franchissement possible de la limite.

Dès lors je pense qu'il faut aller plus loin et comparer les possibilités des mediums utilisables.

La photographie peut apparaître comme plus convulsive que le film dans cette façon d'aborder la limite : dans le film, on a le scénario qui vient manifestement s'interposer et proposer sa reconstruction artificielle du monde, et une façon dirigée de présenter des conflits ouverts. De plus on n'a pas le temps de détailler vraiment un instant précis.
En photo il y a cette illusion que la photographie énonce la vérité et l’apparence exacte du réel - même si ce crédit historique va en s’amenuisant. En grand format particulièrement, la photo offre la capacité à la haute résolution de l’image immobile : c'est à dire une bien meilleure capacité pour le spectateur d'explorer un instant de l'intérieur. Faire une belle photographie est composer l'expression du sens avec ces éléments particulièrement indigènes à la photographie.

Quand tu dis : "l'œuvre d'art advient par nécessité là où nous échouons à dire l'état de notre rapport au monde" j'y vois bien une façon de jouer avec des limites : "ce que je peux dire / ce que je ne peux pas dire" qui me semble en effet un vrai exemple de la définition de l'artistique comme je la conçois. La photo étant là à la fois pour suggérer un au-delà possible au sens commun et la difficulté de cette conception.

Je me sens tout de même dans les tutti, bien à ma place :-)

Je réponds donc aussi. Mais je peux comprendre que la réponse d'HP soit plus à la hauteur.

Néanmoins, j'attends réaction.

Greg

Cher gregvds ()

Vous attendez une réaction. Je pense qu'il y a malentendu., car j'ai répondu à votre intervention que j'ai tout à fait appréciée. Vous faites effectivement partie des tutti, et vous pouvez lire ma réponse en haut de page.


Hypathie

Merci à GP pour l'explication de texte qui est lumineuse, et pour les compléments apportés par Henri. La question ainsi ouverte est tout à fait passionnante. L'homme rustre n'est jamais celui qu'on croit. Autant pour moi.

Hypathie

Xavier

Les citations, ici il s'agit plus de références qui sont au nombre de deux , le paradoxe d'Epiménide le Crétois, et la gustation divine selon Al Ghazali ont une fonction d'illustration dans le premier cas et consiste à citer ses sources dans le deuxiéme cas, car Al Ghazali est le seul auteur à ma connaissance à définir l'union mystique comme une gustation, et non pas comme une vision comme l'impose notre tradition chrétienne.

Je ne trouve pas mes citations dans un dictionnaire ou dans wikipédia, mais dans mes lectures. Le paradoxe du crétois est un classique de tous les traités de logique, la référence à Al Ghazali vient de son ouvrage "Contre les philosophes", que j'ai dû lire il y a une trentaine d'année.

Bien sûr citer un auteur, consiste à s'en remettre à une sorte d'autorité qui viendrait confirmer son dire, cela prouve donc un manque d'assurance de la part du locuteur, mais aussi une certaine modestie. Car la fréquentation des grands auteurs rend modeste quant à ses possibilités de penser par moi même. Comme tout un chacun je suis capable de juger par moi même et de me faire mon idée et de ne pas prendre pour argent content tout ce qui peut m'être raconté. Penser par soi même en tant qu'être capable de créer des questions qui n'auraient jamais été posées auparavant et y apporter des solutions entièrement neuves, si j'en étais capable cela se saurait et je serais pour le moins à l'Académie Française.

Me prêter l'intention de bluffer mes lecteurse ne peut venir que d'un complexe d'infériorité. Penses-tu par exemple que Bigler veuille considérer ses lecteurs comme des crétins sous prétexte qu'ils n'ont pas ses connaissances en optique. Et il en sait plus en optique que moi en philosophie. Le savoir se reconnaît en optique, comme en philosophie ou en toute autre connaissance en ce que celui qui sait mesure par la même l'étendue de son ignorance. Je ne ferai pas de référence, elle est universellement connue mais c'est la bêtise qui croit tout savoir.

Enseigner la philosophie est-ce un métier honnête, ce serait sans doute le cas s'il s'agissait dune profession libérale, mais comme le professeur de philosophie est un fonctionnaire, on peut à juste titre le considérer comme un "chien de garde" de la bourgeoisie, ou une "prostituée de la raison". (deux citations sans auteurs). Donc ce n'est pas un métier pour fille honnête. Par ailleurs qui ici ne vend pas une partie de son temps pour gagner quelque argent.

Pour ce qui est de ma préférence en matière de chant, elle va à Kathleen Ferrier. Claude François et Dalida ne sont cités ici que par pur jeu d'esprit. Ils sont tous les deux originaires d'Alexandrie comme Hypathie.

Enfin si tu te lances dans l'autoportrait tant pis pour toi.

En attendant d'autres questions du même tonneau, oserai-je dire "des danaïdes" sans t'insulter.

Hypathie



Modifié 1 fois. Dernière modification le 21/02/2010, 18:32 par mougin.

Pas de problème Jean-Claude. Je n'ai aucun mérite. J'essaie juste d'avancer en prenant chez les autres ce qui me semble juste. Les références que tu manies avec habileté me font défaut, mais il semble qu'elles puissent parfois constituer un poids !

henri peyre écrivait:
-------------------------------------------------------
> La photo étant là à la fois
> pour suggérer un au-delà possible au sens commun
> et la difficulté de cette conception.
—

Si je suis bien, le sens d'une photographie serait alors fortement dépendant de son contexte de production (époque, culture, etc). Autrement dit, elle n'atteindrait sa pleine efficacité que lorsqu'elle se situe à la juste distance entre ce "sens commun" et les ouvertures qu'elle suggère. Trop loin, et cela tombe à l'eau dans l'incompréhension ; trop près, et l'impulsion nécessaire à aller plus loin n'y est pas.

Au fond (pardon, mais je réfléchis à mesure) ce contexte favorable n'est pas simplement celui de l'époque dans laquelle l'image apparaît, mais aurait plutôt à voir avec une disposition d'esprit, autrement l'œuvre serait obsolète une fois ladite époque révolue. Au contraire, on a tous pu faire l'expérience d'être touché par une œuvre du passé, même lointain, ce qui tendrait à prouver qu'en dehors des gesticulations révolutionnaires et autres cultes de la nouveauté, les préoccupations fondamentales de notre espèce perdurent !



Modifié 1 fois. Dernière modification le 21/02/2010, 18:36 par gp.

Kathleen Ferrier?

Excellent choix.Meteore certes mais cotoyer Britten...

Ni Ludwig ni Norman ni Fassbaender...

Tu parles allemand au moins pour comprendre comme il faut le texte?

N'empeche esthete douteux...à 2 balles donc.

Qui etale sa science et meprise les autres.

Indispensable lecture "Michel ALEXANDREet l'école française de la perception" par Gérard GRANEL .
Trouvé en suivant la piste Wikipédia . Kant c'était chronologiquement avant , Merleau Ponty , en recouvrement . JG

Par Toutatis! Combien voilà une discussion "endiablée"!!!

Pertinent et amusant "endiablée" certes . Mais pas plus endiablée que les échanges à fleurets définitifs et répétitifs sur les scanners . Dont un vilain esprit souterrain brouille le sens des mots et de la syntaxe , à plaisir . Le vaudou en personne .
Vu les sujets ci-dessus soulevés , les citations projetées comme des obus , la foule des combattants auteurs mobilisés , ce forum préparatoire au concours de l'agreg a de beaux jours . La guerre de 100 ans , pas moins .
Hypathie Alex en aura le sujet d'un essai controversé , avec des notes sur l'ordre intéllectuel d'une équipe multiculturelle .
A suivre . Bonne nuictée à tous . JG

J'ai lu, quoiqu'un peu en retard, la réponse. Merci et mes excuses encore.

J'ai l'impression aussi que le grand format, par sa lenteur, lui permet une maîtrise de l'image plus importante que le tout automatique, trop rapide. On pourrait penser alors que le premier est plus fortement 'mensonger' quant au réel, alors que le hasard, la chance, voire la multiplication des clichés du numérique ultra-rapide pourrait par son kaléidoscope, prétendre à plus d'exhaustivité, encore une piste de réflexion comme ça.

Je m'autorise encore un parallèle avec la peinture. En peinture, tout est actuellement considéré comme art, ou presque. Une toile est obligatoirement une oeuvre d'art. Et pourtant, à une époque, on se faisait peindre le portrait, pour avoir un portrait, était-ce vu comme une oeuvre? Telle bataille était représentée, était-ce pour l'art, ou pour en retenir les faits historiques uniquement? Il y a qques années, une voisine m'avait montré un catalogue de peintre, qui proposait toute une série de croûtes, triés par couleur dominante, pour égayer son salon. Il faisait sur commande aussi, en n'importe quelle dimension. Ca ne m'a pas apparu comme de l'art, mais une sorte de papier-peint encadré très très cher... Et puis il y a de véritables peintres (à mes yeux), qui ont peint par folies, par rêves, par besoin profond d'exprimer quelque chose. La distance entre l'écrivain public et l'écrivain en quelque sorte.

En photographie donc, il y a aussi une quantité impressionnante d'images utiles ou techniques, j'en fais beaucoup, nous en faisons tous, le packshot en est un exemple. La photo est commanditée, ou n'a pas d'autre but que d'illustrer factuellement un rapport. Avec le temps, certains de ces travaux, des catalogues par exemple, acquièrent le statut d'oeuvre d'art. Les images de peuplades prises au début du 20ème siècle, certains clichés médicaux font figure d'oeuvre sociale et artistique finalement. Je doute que mes clichés au flash d'échantillons de roche le deviennent fort heureusement pour l'art.

Nous sommes donc plus intéressé ici par la photographie d'art, celle produite par conviction profonde, par volonté de produire une oeuvre d'art. Néanmoins je pense la barrière entre photographie technique et photographie artistique ténue. Les photographies des guide de la collection de la nuit des temps ont un but simple et illustratif, elles n'en demeurent pas moins d'une très grande valeur artistique, à mes yeux, j'ose espérer pour d'autre aussi (mais où reste HG?).

Je pense qu'il est donc difficile de définir la photographie d'art de façon univoque. mais comme aurait dit Spinoza, c'est l'idée même de la recherche du bonheur qui est le bonheur (une relecture personnelle et grossière, vous me l'accorderez bien).

Bonne nuit à tous,

PAWL SANS RELACHE LASSE.

Hypathie

On dirait de la Pythie....

Des vers maintenant????

On va parler poesie aussi après la chansonnette et Mahler????

Alllez Hypathie, bonne journée,

A+

AP

Et pourquoi pas tiens, il y a si peu de poésie ici-bas.

La photo d'art et la poésie ne font pas du tout mauvais ménage.
Lucien Clergue a illustré les très beaux vers de Paul Eluard dans ses Marines.

Pawl, cessez s'il vous plaît de venir simplement agresser les autres, ou participez simplement, mais ceci est un peu vain, ne trouvez-vous pas?

Bien à vous,

Re: Questions à HP et tutti nouveau
Envoyé par:

Nous saluons le retour de J.C. Mougin.
À moins qu'il nous écrive de Mauritanie via un téléphonne par satellite, il est donc probablement revenu sain et sauf chez lui à l'ombre des cloches de la Sainte Basilique.

Et comme je sais par ailleurs qu'il est mélomane, son admiration de Kathleen Ferrier, en témoigne, et qu'il possède l'intégralité de la collection « Références » de chez EMI, je lui demanderai :
Père Mougin, dis-nous : qui est L'Hypathie ?



Modifié 1 fois. Dernière modification le 22/02/2010, 10:12 par Emmanuel Bigler (modérateur).

Bonjour,
Concernant la definition de l'art comme "changement de point de vue", je voudrais simplement dire qu'Il existe une litterature abondante sur ce theme issue d'ecrits artistes de tous horizons, y compris de ceux qui revendiquent la transparence du medium photographique. A tel point que je me demande s'Il peut y avoir une autre definition de l'art ... !

Zoran écrivait:
-------------------------------------------------------
> Bonjour,
> Concernant la definition de l'art comme
> "changement de point de vue", je voudrais
> simplement dire qu'Il existe une litterature
> abondante sur ce theme issue d'ecrits artistes de
> tous horizons, y compris de ceux qui revendiquent
> la transparence du medium photographique. A tel
> point que je me demande s'Il peut y avoir une
> autre definition de l'art ... !
—

Je suis preneur d'une référence ou deux… Merci !

Salut,
Tu peux commencer par Robert Adams "essais sur le beau en photographie" (ed Fanlac). Il y aborde frontalement la question avec des exemples precis (E Hooper etc). L'introduction de JF Chevrier traite du sujet egalement. C'est pas tout jeune (1981), mais toujours d'actualite.
Je ne suis pas chez moi en ce moment c'est donc un peu complique, mais je pense aussi qu'Il faudrait etablir une bibliographie la dessus, cela simplifierait les echanges sur le forum ...

Bigler

Je ne te salue pas toi qui à longueur de fils étale son savoir optique sans aucun respect pour les ignorants que nous sommes. Et que je te cite des auteurs en allemand pour faire bien et pour nous faire croire que tu connais la langue de Goethe. Je parie que tu lis en douce Heidegger, facho de mes deux. Arrête donc de nous prendre pour des nazes, nous aussi on est allé à l'école, le grec ancien on connaît mais on s'en tape.

Et puis de ton Rollei et de ton Monsieur Je sais Tout sur les Rollei, tu crois qu'on en a pas plein la casquette, tu nous prends pour des bleus avec tes appareils d'avant le déluge numérique. Le monde a changé espèce de réac, vieux schnock. Il faudrait peut-être changer de cap et de matos, tu commences à faire ringue, avec ce machin qui dépasse de ton bide. Et Arca, arca, tu ferais mieux de dire taka taka espèce de baba pas cool.

Et tes grosses vannes, et tes insanités insalubres du genres comtesse, tu nous prends pour des cons. J'y comprends jamais rien, sinon que c'est des trucs à libido, Freud on connaît qu'est-ce que tu crois.

Et voilà que tu nous ramènes la Ferrier, elle aurait bien fait de rester postière celle là. T'es bien comme Mougin cet has been à la con qui se prend pour une nénette même pas dépucelée. Ah la fine équipe, le joli duo, des "Références" encore des "Références", toujours des "Références", vous êtes bien les mêmes. Tu peux pas chanter par toi même, t'as donc pas de salle de bain, malpopre.

Et puis avec ton Emi, tu crois nous en mettre plein la vue i. Emoi Emoi tu connais. Dutronc !

Si je te photographie , tant pis pour toi, je te ferai une tête de Mickey

LWAP TANT PIS POUR CELUI QUI M'ATTRAPE



Modifié 1 fois. Dernière modification le 22/02/2010, 12:27 par Hypathie Alexandre.

Merci Zoran.

En y réfléchissant un peu, il me semble effectivement admis que l'œuvre d'art propose toujours un changement de point de vue par la simple confrontation d'une vision (artiste) à un regard (spectateur).
Mais lorsque Henri parle du "lieu de mise en scène de la possibilité du changement de point de vue", il y a à mon sens une dimension supplémentaire dans l'idée de multiplication des possibles.

J'y reviendrai après avoir remédié au début d'hypoglycémie qui me tient…

LWAP TANT PIS POUR CELUI QUI M'ATTRAPE

T'avais à peine affiché ton premier message que tu t'étais déjà auto-attrapé toi-même...

Apparemment l'air de Mauritanie t'a remonté à bloc ! félicitations !

E.B.