Je pense que le souci est la non connaissance de la photo par les commanditaires, leur ignorance de ce qu'est une commande d'État. Latarjet l'explique bien. Les
Becher avaient fait les
New Topographics et continuaient à tracer leurs sillons.
A l'époque, la BN ne possédait pas un seul ouvrage des Becher, de
Lewis Baltz ou autres paysagistes qui allaient « éclater » 5 ans plus tard. Latarjet se documentait en empruntant des ouvrages à des photographes. Il fallait tout découvrir.
De même, les photographes attendaient des consignes de prise de vue comme cela se faisait à l'époque, si l'on croit Latarjet. On est donc dans une pratique de commande très innovante où on laissait au photographe un espace de liberté grand.
Certain grand photographe paysagiste américain regrette encore d'avoir refusé d'y participer.
o7 philippe
Modifié 1 fois. Dernière modification le 11/05/2013, 09:31 par Emmanuel Bigler (modérateur).