La liseuse, lasse en cette fin d'hiver, n'est pas allée chercher bien loin sa pitance :
" (…) je pense qu'en art la capacité d'amener le spectateur juste sur la brèche, là où l'oeuvre défait et refait en permanence ses possibilités de sens, est à la base de la jouissance (de spectateur) " - Henri Peyre
Jusqu'à quel point l'oeuvre peut-elle se défaire et se refaire ? Quel rôle joue le spectateur dans ce processus ?
Pour être plus concret voici un exemple : dans son installation intitulée
"Après" (actuellement au
Mac-Val), Christian Boltanski a mis en scène un mur de portraits fait d'images vides ; l'effet est saisissant et passablement déconcertant…