cette fois j´ai tout compris ca roule, merci.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 24/06/2011, 07:53 par Ron Talis.

jean-pascal laux écrivait:
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> L'impression est un monde très complexe que
> j'apprend à mesure...
> Peut-être quelques rectifications à mes
> imprécisions?

Si vous réalisez vos négatifs numériques avec une imprimante jet d'encre, vos négatifs sont en fait analogique, le procédé génère une sorte de lissage qui permet de passer dans le domaine de l'analogique.

Dans le cas de films sortis d'une flasheuse, même si la matérialité des films est réellement analogique, cette analogique reste sérieusement numérique avec les restrictions techniques qui vont avec, la description du point de trame n'est pas un nuage comme en jet d'encre, mais un assemblage de brique, et ces briques sont en nombre limité. On est donc entre deux, soit chaque point de trame dispose de beaucoup de briques pour le décrire et le point est assez grossier, soit il est fin et l'on dispose de peu de brique pour le décrire. La relation entre la brique et le point est très étroite, et conditionne l'échantillonnage.

En Jet d'encre, la relation entre la goute d'encre et l'information élémentaire, le pixel, est très lache, la résolution réelle des imprimantes étant très médiocre, mais comme on tombe dans l'analogique, cela passe assez bien.

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No Pasaran
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Merci pour les briques, on vas pouvoir continuer la construction...

Amicalement

JEEP

en parlant de construction:

comme Henri semble avoir des relations à Vaugirard,
ne serait il pas intéressant de proposer comme sujet de travail la réalisation
d´un logiciel semblable à QTR mais en Open Source complet.
Je pourrais éventuellement aider pour trouver un prof de math
ou d´info capable d´encadrer ce travail sur Paris.



Modifié 2 fois. Dernière modification le 24/06/2011, 15:44 par Ron Talis.

[www.dpug.org]

ça pourrait, faut lui demander.
Pour l'open source je comprend l'intérèt .
Mais faire un clone de quadtone apporterait -il quelque chose de plus à ce qui existe..
Peut être un programme permettant d'élaborer des negs numériques
en fonction de ce qu'on veut faire et comme dans quad,
en tenant compte de la spécifité des encres proposées en jet d'encre?
Du type de film utilisé (pictorico, permajet, tartempion...)
Très ambitieux... et réaliste??? quand on scrupte l'évolution du numérique, Le bébé babille...
M Gaud?

Quoi qu'il en soit, ça risque de partir fort, cette histoire de neg numérique.
Picto après avoir "refilé" l'argentique n&b et couleur à Publimod,
s'y met et propose de réaliser des negs en piezographie
pour les "nostalgiques" du tirage argentiques... par contact.
Je suis curieux d'avoir un avis sur la souplesse d'utilisation de leurs films
quand on connait toute la difficulté qu'on peut rencontrer pour
l'élaboration de negs numériques dédiés.
La fameuse limite du process qu'on emprunte comme cela a été souligné
par H.Gaud plus haut dans le fil.
Est-ce que ça passera sur n'importe quel papier argentique, Ilford, foma, addox, enfin ce qu'il reste...
Y aura-t'il une possibilité de jouer sur la gradation? Quid du couple papier-révélo?
(Dommage que plus grand monde ne continue la voie de l'imageur qui est une superbe solution.
Honnéreuse mais ça passe dans un agrandisseur,
un mariage sympathique des deux et une archive physique pour les photographes numériques)
Quand à une solution définitive?
Le lien APUG très interéssant de R.Colognoli (en rapport avec la technique Irving Penniène, ),
donne un aperçu supplémentaire de la diversité de solution.
Un neg ou multineg en montant patiemment les valeurs comme le graveur.
Une ou des émulsions différentes....
C'est open...

NB: Si quelqu'un veut se lancer dans le multicouche, j'ai du film thermocollant "fusion 4000"
dont je peux céder quelques feuilles,
envoyez moi un mail avec le format désiré.
Je fournit le mode d'emploi du machin.
Seule condition, il faut une presse à chaud, le fer à repasser risquant d'être plus qu'hazardeux.

JEEP

:

jean-pascal laux écrivait:
-------------------------------------------------------
> ça pourrait, faut lui demander.
> Pour l'open source je comprend l'intérèt .
> Mais faire un clone de quadtone apporterait -il
> quelque chose de plus à ce qui existe..
> Peut être un programme permettant d'élaborer des
> negs numériques
> en fonction de ce qu'on veut faire et comme dans
> quad,
> en tenant compte de la spécifité des encres
> proposées en jet d'encre?
> Du type de film utilisé (pictorico, permajet,
> tartempion...)
> Très ambitieux... et réaliste??? quand on scrupte
> l'évolution du numérique, Le bébé babille...
> M Gaud?

Je ne pratique pas le négatif numérique, pour le moment, mais je ne crois pas que la solution soit nichée dans un logiciel, mais plutôt dans une méthode.

:

> Quoi qu'il en soit, ça risque de partir fort,
> cette histoire de neg numérique.
> Picto après avoir "refilé" l'argentique n&b et
> couleur à Publimod,
> s'y met et propose de réaliser des negs en
> piezographie
> pour les "nostalgiques" du tirage argentiques...
> par contact.

Pourquoi pas, mais c'est du Picto ....

:

> Je suis curieux d'avoir un avis sur la souplesse
> d'utilisation de leurs films
> quand on connait toute la difficulté qu'on peut
> rencontrer pour
> l'élaboration de negs numériques dédiés.

Avec un peu de méthode cela sort tout seul.

Un aperçu de la méthode dans ce mémoire

:

> La fameuse limite du process qu'on emprunte comme
> cela a été souligné
> par H.Gaud plus haut dans le fil.
> Est-ce que ça passera sur n'importe quel papier
> argentique, Ilford, foma, addox, enfin ce qu'il
> reste...
> Y aura-t'il une possibilité de jouer sur la
> gradation? Quid du couple papier-révélo?

Un test complet par process, et le multigrade devient inutile avec des négatifs dédiés.

:

> (Dommage que plus grand monde ne continue la voie
> de l'imageur qui est une superbe solution.
> Honnéreuse mais ça passe dans un agrandisseur,
> un mariage sympathique des deux et une archive
> physique pour les photographes numériques)

Les imageurs ont aussi leurs limites.

:

> Quand à une solution définitive?
> Le lien APUG très interéssant de R.Colognoli (en
> rapport avec la technique Irving Penniène, ),
> donne un aperçu supplémentaire de la diversité de
> solution.
> Un neg ou multineg en montant patiemment les
> valeurs comme le graveur.
> Une ou des émulsions différentes....
> C'est open...

Pourquoi vouloir du définitif, chacun a tout loisir de caler ses procédures, il ne s'agit pas d'une production de laboratoire, mais d'expérimentations personnelles et artistiques.

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No Pasaran
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"Je ne pratique pas le négatif numérique, pour le moment, mais je ne crois pas que la solution soit nichée dans un logiciel, mais plutôt dans une méthode. " H. Gaud

Entièrement d'accord... C'est finalement ce qui se passe plus ou moins.
j'étudie à droite et à gauche, essaye de faire fonctionner ma petite tête
et en sort une méthodologie et une "rationnalisation" qui tend vers ce que
je désire et corresponde à mes exigeances visuelles.


"Un test complet par process, et le multigrade devient inutile avec des négatifs dédiés"

Je le sais, ce qui me pose (facultativement ) question était l'argument commercial. Mais au fond, j'avoue que je m'en fout quelque peu, n'ayant jamais été client chez Picto.


"Les imageurs ont aussi leurs limites."
Je ne parlais que d'une "solution sympa", pas ultime; loin s'en faut.
Limites! limites!
Bizarre, bizarre! j'ai déjà lu ça quelque par.


"Pourquoi vouloir du définitif"

Ce n'est pas l'envie, l'ensemble de cette discussion étant plutôt devenu un bref aperçu des possibilités multiples qui s'offrent à nous. Il suffit de trouver ce qui satisfait son oeil, sa pensée,etc.
Je laisse la rationnalisation aux industriels du numérique... si tant est qu'il y ait rationnalisation?


Merci pour le lien. J'avais déjà survolé votre blog trichromique, très touffu et très tentant.
Je connais la technique de Dan Burkholder,
qui a été la première que j'ai potassé et appliqué
lorsque j'ai commencé à m'interésser au neg numérique en 2004.

JEEP