En fait je me posais la question du bois en milieu salin, bord de mer, sable très humide, ou l'alu
même avec un rinçage costaud puisse résisté longtemps à la corrosion ?
Avec un Berlebach d'occasion à 100 euros, dont on peut facilement changer soi-même très facilement tous les éléments défectueux, on peut avoir du trempage dans le sable et l'eau salée une vision un peu plus décontractée qu'avec une beau Gitzo tout neuf. En résumé, tremper un berlebach dans l'eau de mer, c'est le considérer comme un consommable ;-) S'il faut changer la sernière section de jambe, ce n'est pas .... la mer à boire ;-) deux ou trois vis à bois ultra-couratnes à tomber, et hop ! C'est démonté, et je suis certain que l'honorable maison de Mulda enverra diligemment les pièces de rechange à qui en fera la demande.
Ceci étant dit, la fibre de carbone est censée être insensible à la corrosion marine, au contraire du dural ; mais pour ce qui est du sable, comme les coulisses en bois du berlebach sont parfaitement ouvertes, le sable ne peut pas rester longtemps dans les coulisses, sitôt rentré, sitôt sorti ! Et très facile à nettoyer avec un chiffon humide !
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Concernant la hauteur minimale au-dessus du sol, voici mes mesures avec mon trépied Nr. 8013, 3 sections, hauteur max 127 cm.
En position "2" avec les coulisses de jambes à 60cm totalement repliées, inclinées à environ 40° de la verticale, le plateau portant la rotule ou la tête est à 47 cm du sol. En position "1" avec une inclinaison autour de 20° la hauteur est proche de la longueur de jambe repliée, soit un peu moins de 60 cm.
E.B.