GERARD écrivait:
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> Traiter à une température de l'ordre de 30 à 40 °
> , de nombreux paramètres sont très différents des
> conditions de base ( viscosité des couches de
> produits relachés par les réactions , diffusion à
> travers ces couches , maîtrise des vitesses
> d'agitation , j'en oublie ) un champs
> d'expérience vaste .
> Le numérique s'impose apparemment .
Pourquoi vouloir compliquer à ce point des concepts de base?
Cela reste de la photo à dimension humaine, non?
Certains ici pourraient aussi parler avec aisance mécanique quantique.
Switcher vers le numérique simplement parce que le Reynolds du fluide de votre cuve augmente avec la température par diminution de la viscosité dynamique, c'est dommage. La turbulence de Taylor-Couette, c'est tout de même c'qui participe au développement de nos films!
L'idée, entre autre, de diminuer les concentrations des agents réducteurs respectifs: ça c'est de l'adaptation aux conditions "extrêmes"! ;-)
Photochemical