À l'époque d'Alphonse Allais, on appelait les étudiants en pharmacie « les potards » ; je ne sais pas si l'appellation existe encore de nos jours.
Maintenant j'ai compris pourquoi, à la lecture des recettes de M. May, ce qui n'est pas incompatible avec les nombreux
pots dans lesquel il conserve ses produits chimiques ;-)
E.B.