Auteur: PdF
Date: 04-12-2009 22:09
L'inactivité est effectivement mortelle pour un générateur. Cela me rappelle que je dois mettre sous tension les trois générateurs qu'un de mes copains a laissé chez moi et que je n'emploie guère...
Pour Henri: entre un Pulso 4 et un Pulso A4 (asymétrique) il y a une différence fondamentale: la plage d'utilisation est accentuée de deux diaphs, et plus encore lorsque l'on travaille en asymétrique, avec des bornes en mode "dérivation". Lorsqu'il faut photographier de très petits objets, ce n'est pas la puissance maximum qui compte, mais bien la puissance minimum. Et si possible avec une température de couleurs constante. Mais ça, c'est autre chose. Et les Pulso ne sont pas nickel à 100% sur ce plan-là! Mais on peut toujours se démerder avec des gélatines 1/8 et 1/4 CTO sur les sources... Le copain en question (voir plus haut) était un super-crack de ce type de procédures, en photographiant des pièces de monnaie et des médailles en 4/5 hyper-super-méga léchées. De vrais morceaux de bravoure. Une autre époque. Et des budgets Ektas-polas-labo stratosphériques.
Ceci dit, mon Pulso 4 et mes deux A4 fonctionnent toujours très bien. Même si je ne m'en sers plus que comme générateurs "secondaires": ils n'offrent pas la stabilité des générateurs "modernes" indispensables en sessions multishoot.
Pour Armand, Jean et Philippe: un générateur symétrique permet de faire fonctionner une, deux trois et même quatre torches. Sans chichis, sans manières.
PdF
|
|