Auteur: Strauss Jean- Jacques
Date: 28-09-2005 11:14
Comme d'habitude on ne parle que des trains qui n'arrivent pas à l'heure ou des crash d'avion. Le risque zéro n'existe nulle part, c'est cruel à rappeller mais même les meilleurs labos pro connaissent des avatars. Le probléme du développement c'est que c'est une opération uinique et irréversible, quand c'est bon, c'est bon, quand c'est planté
c'est foutu. Erreur humaine ou de configuration matérielle aucun labo n' est épargné.
Nous sommes là dans un cas typique de loi de Murphy, les films qui ne devaient pas planter sont détruits. ça fait mal à tout le monde, au labo et au client.
Et pourtant combien de films développés sans incidents, combien de clients satisfaits,
combien d'heureux, la majorité silencieuse.
Quand il y a un probléme en général un labo pro assume au delà du remplacement des films mais ne va pas repayer une virée à l'autre bout du globe.
Le donneur d'ordre se doit de prévenir le labo de l'importance exceptionnelle des films et le labo se doit de mettre en place les procédures de préservation maximum afin de limiter la casse puisque le risque zéro n' existe pas.
S'il avait fallu rayer des listes tous les chirurgiens ayant failli nous ne pourrions plus ^étre opérés aujourd'hui.
reste une solution: faire le deuil des images perdues. Bon courage
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