Auteur: Nico
Date: 21-02-2003 16:26
Réponse à Tin, j'éditais mon précédent message en réponse à celui de Marc quand son mot a été posté.
Nico vous ne repondez a rien!!
La question était: "C'EST QUOI UN ETALONAGE" (sic), je crois avoir répondu.
L'etalonage consiste a transformer une charge electrique analogique,en information numerique reconaisable par des logiciels qui travaillent dans different format(tif,eps,scitex..;) cette conversion A vers D peut ce faire a plusieurs niveaux 8,12,14,16 bits on dit aussi profondeur
Je crois que vous confondez étalonnage et acquisition. Reprenons: lors de la numérisation, les capteurs (CCD des scans à plat, les PMT des rotatifs) transforment non pas une "charge électrique analogique" mais différents degrés de luminosité en tensions analogiques, qui sont elles divisées en un certain nombre d'échelons (ou niveaux) par un convertisseur analogique/numérique: c'est cette étape que l'on nomme échantillonage (il existe des processus similaires en musique, d'ailleurs).
le profil ICC entervient dans cette conversion en prenant une norme, une maniere de interpreter l'espace couleur qui mets beaucoup de monde d'accord (un peut comme le gris 18%)les ICC sont une passarelle en peut comme les potenciometres d'une console de prise de son.
Les profils ICC n'interviennent nullement à ce moment; ils sont créés après que le scan ait été caractérisé; d'ailleurs, expliquez-moi quelle est cette "norme" qui met beaucoup de monde d'accord? De plus, je ne comprends pas l'analogie avec les potentiomètres d'une console…
Pour le negatif je ne voit toujours pas l'argument.Sur plein d'scanner au moment de l'scanerisation on doit choisir quel tipe de film negatif on entroduit POURQUOI,si selon vous tout est deja calibré,de plus comme disait Henry il faut un profil par type de film,ainsi un profil ICC fait avec un ekta ne sera pas bon pour un Kodacrhome. Selon la selectivite de filtres tricrhomes on auras de courves de reponses trés diferentes d'un point de vu electrique donc le soft doit interpreter et corriger toute une serie d'aberrations(bruit dans le noir,changement de temperature..) Quand il travaille en negatif il doit reconaitre le masque en premier alors pourquoi pas des ICC?
D'abord, le masque d'un film C41 est fonction de l'émulsion (vous savez certainement que tous les films d'une même référence ne se valent pas, les émulsionneurs font des lots différents, chacun étant repéré par un numéro de lot apparaissant sur le film), des conditions d'utilisation et de stockage, enfin du traitement. Donc les canaux utilisés par certains logiciels de numérisation ne sont qu'indicatifs (j'en ai créé moi-même pour étalonner un Eversmart Supreme, et je peux vous dire que c'est extrêmement approximatif, on a beau créer tous les canaux que l'on veut en fonction des références de films, l'intervention de l'opérateur est à chaque fois nécessaire et minutieuse); il arrive même que vous puissiez vous trouver devant le cas où il vaut mieux utiliser le "profil" d'un film Fuji pour numériser un Kodak… Ensuite et jusqu'à preuve du contraire, les profils ICC caractérisent le matériel (tel écran, tel scan, telle combinaison imprimante/papier/encre…), de manière complètement indépendante du type de documents à numériser.
En réponse à Henri:
<Par contre, faisable ne signifie pas recommandable; un bon tirage sera TOUJOURS meilleur qu'un scan.
Cette citation me laisse pantois, c'est évidement une connerie, en terme d'espace colorimétrique et de reproduction des dites couleurs, le monde numérique est plus vaste tant qu'il reste numérique ensuite il dépend de la sortie (c'est sur que si on numérise en CMJN c'est un peu la cata).
Oui, le monde numéériques est plus vaste tant qu'il reste numérique, mais où est la connerie? Un tirage argentique d'après un film argentique est meilleur qu'un scan numérique d'après un film, mais peut-être (?) moins bon, semblez-vous dire, qu'une sortie numérique d'après un fichier numérique, soit. En quoi me contredis-je?
N
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