Auteur: PdF
Date: 22-11-2004 11:53
Bonjour à tous,
Je pense que l'idéal est de prendre les avantages de l'un ou de l'autre système. Ainsi, lorsque je souhaite un résultat finement modelé, offrant des détails perceptibles dans les hautes et les basses lumière, je choisis le négatif. Lorsque je suis confronté à un sujet délicat (prises de vues industrielles avec mélanges de températures de couleurs, grosses variations d'éclairement dans la même image, ...), je choisis le négatif (qui s'impose alors incontestablement, sans l'ombre d'un doute. La granularité vous semble trop importante ? Travaillez "un format plus haut" ou utilisez une pellicule plus fine. Ce problème, je ne l'ai jamais rencontré.
Dans les autres cas: images à l'exposition plus linéaire (tant sur le plan de la colorimétris que de l'exposition), j'utiliserai plutôt l'inversible. Par paresse, peut-être. par facilité de voir tout de suite le résultat après développement.
Pour la reproduction très fidèle de documents, je travaille exclusivement en grand format inversible, parce que l'ekta reste "la" référence pour toute la chaîne graphique. Mais c'est peut-être une hérésie au moment où on livre plutôt un scan qu'un ekta.
En résumé: je suis rarement déçu par le scan d'un bon négatif. Mais tout ça ne vaut pas un tout bon dos numérique.
PdF
|
|