Auteur: Philippe
Date: 28-05-2004 10:47
A ce stade il n'y a pas de carte mémoire, mais un système d'acquisition dédié au problème. En finde compte, la carte mémoire est un simple disque dur. Les astronomes "posent" longtemps. Une nuit entière par exemple. Le pixel d' une caméra CCD à besoin d'environ de 30 photons pour générer un signal électrique utilisable. Typiquement 1 photon rouge génère 2 charges. Le pixel accumule donc la lumière qui lui est envoyée au travers du train optique du télescope. Ces CCD sont génélement refroidie afin de reduire le bruit électrique au minimum. La résolution, dans ce cas, n'est pas fixée par le nombre de pixel, mais bien par la taille (l'ouverture) du telescope.
Le pouvoir de séparation dépend de la longeur d'onde, disons 500 nm dans le visible, et inversément du diamètre de l'optique, dans ce cas 1m. Les plus gros engins en construction en amérique du sud ESO (European South Observatory) ont un diamètre de 8 mètres. Signalons encore que le limite de diffraction à 8 mètre de "lentille" est inutile en raison des fluctuations de l'atmosphère. Les astronomes parlents de "seing".
Visibilité. Raison pour laquelle les telescope du VLT sont équipés de miroirs segmentés, et chaque ségment est actionné par un actuateur piézo au rytheme des fluctuations atmosphérique mesurées séparément. Ont est dans un domaine THR, mais le débat n'est pas au niveau du CCD et des pixels, mais bien au niveau de l'optique.
Saluttions, Philippe
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