De toute façon, ce n'est pas un appel d'offre, c'est un aiguillon, un appât, un alibi...
Il est dit, une fois encore, que c'est le chemin qui compte.
A chacun de trouver le sien.
Pour m'a part, j'ai retenu : "Le sujet, c'est l'absence de notion de distance, l'absence de référent, l'absence d'échelle. Notre monde bouge et les référents traditionnels ne sont plus des référents. Ces changements ne sont pas vraiment nouveaux, mais il y a profusion de perte de référents et volatilité accélérée des référents de substitution."
Le mot "référent" y figure cinq fois en deux lignes. Je pars donc dans cette direction là, celle des vrais et des faux référents. Et si c'est ma lecture ce n'est pas forcément celle de Pierre, Paul ou Jacques, mais elle me permet de réfléchir et expérimenter dans une direction qui m'intéresse.
J'espère que chacun pourra faire l'effort de trouver sa lecture et sa voie.
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Laurent
Bordeaux
[
lc972.wordpress.com]