Henri Gaud écrivait:
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> Sauf que chez Kodak, le couchage en nappe c'est 5
> km/heure sur 130 de laize, soit 100 000 Bobines
> 120 à l'heure.
> Je viens de griller 108 bobines 120 sur 5 jours de
> trichromie, soit 4 seconde de couchage de chez Mr
> Kodak
Quatre secondes, c'est peu et c'est beaucoup en même temps.
Combien mesure un gros rouleau et comment cela s’appelle-t-il, déjà ?
Donc, combien de temps faut-il entre le début et la fin du couchage ?
En fait, ce que je me demande, c'est si dans le fonctionnement normal d'une usine (ou peut-être bientôt d'un atelier) ce genre de machine doit fonctionner en continu sur la journée voire des journées.
Quelqu'un ici avait écrit que Kodak avait anticipé la baisse de la demande et revu à la baisse la taille de ses machines.
A un moment donné, ce n'est pas seulement une question de rentabilité liée au prix de vente qui décidera si untel arrête ou continue. Je me souviens d'une conversation avec un industriel insulaire qui fait de la crème glacée. Ici, pas de problème, il y a une demande relativement forte. Mais elle est éclaté entre plusieurs parfums et la machine est conçue pour un marché continental bien plus important. Du coup, l'usine passe son temps à s'arrêter pour nettoyer la machine avant de changer de parfum.
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Laurent
Bordeaux
[
lc972.wordpress.com]