ventdesable écrivait:
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> Ben ce n'est pas moi qui écrirait le
> sept-centième.
>
> Monsieur Bigler est demandé au parloir ;-)
>
> J
C'est quoi le problème avec le sept-centième ? ça porte malheur ? Vous lui en voulez tant que ça à Monsieur Bigler ?
"C'est peut-être pour cette raison que la plupart des hommes de foi qui ont décidé de consacrer leur vie à la prière se réunissent en congrégation ; en monastère.
L'union fait parfois la force. "
Foutaise... enfin je veux dire thèse complétement folle. Si l'Eglise avait renoncé au célibat des prêtres il y aurait eu beaucoup moins de problèmes de pédophilie.
Allez hop un peu d'Histoire :
"Le pape Paul III convoque en 1542 un concile qui restera connu dans l'Histoire sous le vocable de « Concile de Trente », du nom de la ville où il démarra. Après bien des avatars et interruptions successives il s'acheva (enfin) sous Pie V en 1563. Ce long concile allait avoir des conséquences terribles au niveau de l'équilibre psychologique des âmes naïves dans les siècles futurs.
Ceci dit, il allait avoir pour conséquence première que le sexe était désormais érigé par le pape au rang de péché mortel, au même titre que le meurtre. Pour les non-initiés, rappelons que le Droit « canon » divise les péchés des hommes en deux catégories : les véniels et les mortels.
Les « véniels » sont ceux qui « ne tuent pas la Grâce rédemptrice » et donc ne conduisent pas à l'Enfer automatique si le coupable meurt avant d'avoir pu se confesser. Par exemple, le vol même avec violence (s'il n'y a pas mort de la victime) reste considéré par l'Église comme un péché véniel ...
Les « mortels » tuent la dite Grâce (d'où leur nom) et donc impliquent pour le pécheur la condamnation quasi-automatique au supplice éternel de l'Enfer s'il vient à mourir sans s'être confessé. Il s'agit par exemple du meurtre volontaire ou du blasphème.
Donc, maintenant, après les décrets tridentins (de Trente), le sexe hors mariage devenait un péché mortel tout comme l'homicide et donc se trouvait interdit aux laïques comme au clergé.
Le célibat des prêtres se trouvait désormais fortement ancré et n'était plus susceptible de la consolation du concubinage, bien qu'en Droit pur, la chasteté ne soit officiellement pas inscrite dans les obligations du prêtre séculier.
Cela ne serait pas si grave si une telle décision n'avait eu pour résultat postérieur de rendre infernale (c'est le cas de le dire) la vie de prêtres capables et zélés, mais un peu faibles sur le plan de la « Chair ».
Démission, vie parallèle, enfant dissimulé, suicide ... Ou même homosexualité et pédophilie, voilà le prix imposé par les conciles de Latran et surtout de Trente. "
[
atheisme.ca]
Les seisshin (retraites méditatives chez les bouddhistes) sont mixtes et cela se passe très bien.