« Mon snobisme est comme un enfant gâté ; dès qu'on lui paie un beau jouet, il se tient tranquille.»


E.B.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 02/12/2010, 18:51 par Emmanuel Bigler (modérateur).

Henri Gaud ? :-))))

Je crois que cela remonte assez loin, déjà au VIème siècle il y avait des snobs, je crois que Chilpéric en faisait partie.

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No Pasaran
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La mémoire collective (google) n'est pas locasse .... la phrase que j'ai retenu en cherchant avec la citation et Chilpéric :
"La paix régnait approximativement entre les frères couronnés quand une femme survint. Et tout se mit à aller mal."

;-))))

www.danielelbaz.com



Modifié 1 fois. Dernière modification le 02/12/2010, 11:07 par Daniel9.

Qu'est-ce qu'il faut deviner?

- de qui est la citation?
- de quel jouet il s'agit?
- de quel comportement ontologique relève l'auteur?
- quand est-ce qu'on mange?

Première fausse piste

E.B.

- de qui est la citation?
- de quel jouet il s'agit?
- de quel comportement ontologique relève l'auteur?
Tiens, par exemple, ou, pourquoi pas.

- quand est-ce qu'on mange?
On peut rajouter cette phrase, mais je crans que çà n'aide guère à la recherche.

E.B.

Si snobisme est le pseudo de libido, alors le jouet est un sextoy?

F M Basnier?

:-)))

L'auteur de la citation est un photographe.

E.B.

Emmanuel Bigler écrivait:
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> L'auteur de la citation est un photographe.

Cool

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No Pasaran
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un type mort ?

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No Pasaran
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Karl Lagerfeld ?
Stéphanie de Monaco ?

David Hamilton?
Yann Arthus-Bertrand?
Mon beau-frère?

J-Henri Lartigue ?

Emmanuel Bigler?

J-Henri Lartigue ?

GAGNÉ ! BRAVO RAPHAËL !

Voici le contexte.

Florette Lartigue, « Jacques-Henri Lartigue, la traversée du siècle »,
Bordas, 1990, ISBN 2-04-018494-5

« Mon snobisme est comme un enfant gâté ; dès qu'on lui paie un beau
jouet, il se tient tranquille. Alors, je me sens libéré. Libre de
penser à toutes mes petites choses à moi, en train de danser en secret
dans ma tête et mon coeur !» page 59

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Livre emprunté à la collection d'une bibiothèque de quartier chez nous. Le père de Lartigue avait fabriqué pour ses enfants un petit train sur rails dans leur somptueuse propriété.... enfant gâté, oui assurément. Et snob assurément, au moins à l'époque entre les deux guerres où, nous dit Florette, il ne s'habillait que dans les magasins les plus chics de la capitale, et où il gagnait sa vie comme dessinateur de modes.

Le livre cité plus haut montre une image prise par Florette, Saint Ansel en train de prendre Lartigue en Photo un jour à Arles. Je connaissais le portrait de Lartigue par Saint Ansel, dans le Making Of, mais vu la nuée de gâte-sauces tourbillonnant autour de Saint Ansel, ce que nous montre la photo de Florette, je ne suis pas étonné que notre californien révéré note : "the image is not crisp..."...

E.B.