« […]
la grâce est donnée inconditionnellement »
Enfin, un génie je vais devenir… :-))) ( [
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«
Le diaporama ça sent le sapin. »
C’est plus une odeur de soufre :-)))
Trop souvent dans le diaporama,
alias le « fondu-enchaîné », la technique se fait sentir pour délaisser le fond. Ce sont ces projections interminables, où tous avons assisté, et où le sujet traité est… le diaporama. Je m’explique ceci par cela : une dimension importante y manque, celle du chariotage (
travelling), si conséquente chez Chris Marker. Et c’est sans doute là où le bât blesse et que le diaporama montre ses faiblesses en voulant feindre la cinématographie (alors que la photographie – l’image – peut s’envisager aussi bien en vue unique qu’en polyptyque). À mon sens, rejoignant les propos de Henri Gaud, c’est là où le diaporama est de l’ordre du passé.