merci à tous pour vos retours (et vos compliments)
Jean-Claude, mettre cela en perspective (!) avec Ucello est très exagéré, et, comme le suggère Thomas, j'étais plutôt du côté de Malevitch dans mon idée première. Mais la recherche du terme mazzocchio, que je ne connaissais pas, m'a permis de découvrir des choses très intéressantes, et notamment le travail de Claude Lothier, perspectiviste acharné comme il se définit ( voir une présentation vidéo
ici et une conférence
là, et
son blog).
Relever le défi du mazzocchio selon le même procédé que mon cube me tente assez, je vais y réfléchir sérieusement... :)
Pour le reste, si vous voulez tenter la même chose en platine, point besoin de stage, il suffit de trois petits bouts de papiers (je vous enverrai un petit mail explicatif dans le courant du week end)
Si l'on revient à la question initiale du fil, je pense que la différence tient ici au chemin qu'emprunte la lumière pour marquer le support.
En photographie "traditionnelle" le support enregistre une réflexion des objets photographiés par l'intermédiaire d'une "boîte" (quelle que soit sa forme), alors que dans le cas du photogramme, c'est l'objet lui même qui sert de filtre qui façonne la lumière, et celle-ci agit par transmission.
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