Les Musées UK et leur politique d'acquisition en photographie

Une Googletraduction de l'article


Exclusif: Comment sont les plus grands musées du Royaume-Uni investit dans la photographie?

Der Rhein II © Andreas Gursky, gracieuseté de Christie.
Trois des plus importantes du Royaume-Uni institutions culturelles - la Tate, V & A et du National Media Museum - ont investi plus de £ 2.1m à élargir leurs collections de photographie au cours des trois dernières années, trouve Olivier Laurent, après avoir fait une série 
 de la liberté d'
 Les demandes d'information.

Jusqu'en 2006, le mot «photographie» n'apparaissait même pas dans les comptes annuels de la Tate. Les choses ont changé depuis lors, avec l'institution nommant son premier conservateur de la photographie l'année dernière, et maintenant la planification d'une superproduction à l'automne mettant en vedette William Klein et Daido Moriyama. En fait, au cours des trois derniers exercices, trois des plus grands musées du Royaume-Uni ont fortement investi dans le milieu, avec Tate, V & A et du National Media Museum dépenser plus de £ 2.1m à élargir leurs collections photographiques.

BJP découvert les chiffres après le dépôt d'une série de demandes d'accès à l'information des trois institutions. Leurs réponses montrent qu'ils sont maintenant à l'aide de plusieurs de leurs ressources pour acquérir des œuvres photographiques - en fait, tandis que National Media Museum consacré un peu £ 134 sur l'expansion de sa collection de photographie en 2007, en 2010, ce nombre avait augmenté à plus de £ 148,300.
Le V & A a passé un total de £ 428 251 pour les acquisitions de photographie entre avril 2007 et le 31 Mars 2011, il raconte BJP. Les fonds "vient d'un certain nombre de sources, y compris les dons de particuliers, du Fonds de Sir Cecil Beaton Royalties et du ministère et du musée des fonds central». Deux autres sources ont permis à d'autres acquisitions à faire, comme «l'Art Fund a permis la collecte de la photographie contemporaine du Moyen-Orient, en collaboration avec le British Museum, et le Heritage Lottery Fund soutenue Staying Power, un projet conjoint avec la Black Cultural Archives concentré sur la collecte de photographies relatives à l'expérience britannique noir des années 1950 aux années 1990. "
Plus radicalement, la Tate a dépensé £ 1,467,061.51 2007 à 2010 sur l'acquisition de 252 ensembles de travaux d'une variété de photographes, agences et des galeries. «Ces œuvres ont été achetées par une combinaison de fonds levés spécialement pour la photographie d'acquisitions, ainsi que les fonds généraux de Tate», l'institution indique BJP.
L'année dernière, la Tate a créé un comité de photographie des acquisitions qui, selon des sources du BJP, a un budget annuel d'environ £ 200 000 [# 7788 BJP], mais il a également passé au-dessus de cela. Par exemple Sapin, Andreas Gursky Bahreïn I - un 280 × 197cm photographie sur papier produite en 2005 et a acquis deux ans plus tard pour £ 340 250 - est l'une des récentes acquisitions de l'institution, et a contribué à amener le chiffre total pour les années 2007 et 2008 à plus de £ 570 000.
L'intérêt de Tate a atteint un pic dans les années fiscales de 2009-2010, toutefois, avec plus de £ 659 000 182 pièces consacrées à des travaux. Cela comprend £ 70.000 dépensés sur six des photographies de Paul Graham de sa série Troubled Land, la plupart d'entre eux tourné en 1984 et en 1985 à Derry et Belfast, ainsi que £ 108 000 pour 103 de photographies de Keith Arnatt. Tate a investi £ 38 687 à 13 images prises par photographe sud-africain Guy Tillim, et £ 85,837 en "Perspex, résine, acier et trois en noir et blanc" surnommé la haine par l'artiste Gilberto Zorio.
Ces récentes acquisitions signifie Tate détient désormais plus de 1370 photographies. Sa collection comprend 69 photographies réalisées par Diane Arbus dans les années 1960 et début 1970, une photographie d'Andy Warhol tiré par Richard Avedon en 1969, six images par Bill Brandt, deux par Henri Cartier-Bresson, cinq par Thomas Joshua Cooper, un par Elliott Erwitt, et un par Mitch Epstein.
En 2009, la Tate a passé £ 286.078 sur l'achat de cinq photographies de Robert Frank - Histoire, y compris A, B Histoire, Mémoire pour les enfants, et en studio, Mabou - portant le nombre total d'images de Frank qu'elle détient à 23. L'institution conserve également six images de Nan Goldin et 65 de Robert Mapplethorpe, mais ses possessions les plus précieuses pourraient être sept images prises et imprimé par Andreas Gursky - y compris une copie du Der Rhein II, actuellement la photo la plus chère au monde après l'autre d'imprimer de l'édition de six vendu pour 4,3 M $ à une vente aux enchères Christie récente [lire ci-dessous].
Tate est de garder le silence sur la valeur globale de ses collections, cependant, refusé de répondre à la demande du BJP pour plus d'informations. "Tate cherche et gère les informations relatives aux évaluations de ses collections que lorsque des œuvres sont à voyager hors de notre possession directe et de soins, habituellement sur prêts à des tiers pour l'exposition ou l'affichage», il déclare. "Par conséquent, pour de nombreux travaux [en notre possession] nous ne détenons pas d'informations de valorisation." De plus, il dit: «Où que l'information est tenue, elle est la politique de la Tate à ne pas divulguer des informations spécifiques, car elle pourrait mettre en danger la sécurité des ces personnes responsables des soins et la sécurité de nos collections. "
De même, le V & A des objets que des valeurs en sa possession au moment de l'acquisition, et si elles sont prêtés ou inclus dans des expositions itinérantes. "Les 300.000 à 500.000 estimés photos de la collection n'ont jamais été évaluées individuellement dans leur intégralité et le volume des articles interdit le musée qui fournit une liste détaillée."
Pour le Musée national des médias, en attendant, la valorisation de la collection présente un problème plus fondamental. "Une partie du matériel au sein de la Collection nationale des médias peut être perçu comme étant absolument irremplaçable et, comme tel, il est incroyablement difficile d'attribuer une valeur financière sur elle», le musée raconte BJP. «Même si nous étions capables de faire cela, le marché de l'art fluctuation pourrait peut-être de rendre les évaluations de sens dans un espace de temps relativement court."
Peut-être c'est pourquoi des institutions comme la Tate et le V & A sont à la recherche de modèles différents pour recueillir des fonds pour un don. Tous les deux ont lancé des comités d'acquisition qui exigent que les membres de faire don des honoraires fixes pour rejoindre, qui est ensuite utilisé pour acheter des photos de leurs collections, en reproduisant ce que les fonds d'investissement ne dans le monde financier, sauf que Tate et V & A don membres - on suppose - pour des raisons purement des raisons philanthropiques. "Tate Photography Acquisitions Comité est un système de dons, qui vise à amasser des fonds pour acheter des oeuvres photographiques de la collection», explique un porte-parole. «Les objectifs de collecte de fonds pour le Comité ont été retenus comme nous pensons qu'il serait préjudiciable aux intérêts commerciaux de Tate pour libérer ces derniers."
Le V & A, quant à lui, a maintenant un groupe de photographies d'acquisition qui vise à «lever des fonds spécifiquement pour les acquisitions de photographies».
"Cela donnera un nouveau fonds pour permettre au Musée d'élargir son portefeuille de photographie et d'acquérir des oeuvres pour aider à combler des lacunes importantes au sein de sa collection», déclare l'institution. «L'objectif prioritaire du groupe sera de consolider la position du musée comme l'une des collections de photographie avant tout dans le monde - nous détenons la Collection Nationale de l'Art de la photographie."
Le V & A est en marche son groupe Acquisition Photographies d'une manière similaire à Cercle son directeur existant, en invitant, en première instance, 10 collectionneurs de photographie à payer £ 10 000 par an à chacun de faire partie du groupe. "En retour, ils sont invités à s'impliquer plus étroitement avec le département de la photographie. Notre ambition pour la première année est d'attirer £ 100 000, et nous sommes bien sur le chemin de la sécurisation promesses de dons pour ce montant. "
Le National Media Museum continue d'être «largement dépendants des subventions et des fondations, des mécènes et des donateurs, et non des moindres, la générosité des photographes eux-mêmes, sans lequel nous serions incapables de livrer nos aspirations pour le développement de la Collection nationale." Mais l'organisation Bradford basée sur des plans pour accroître sa visibilité dans les deux prochaines années en ouvrant une galerie de Londres au Science Museum. Le projet est encore en développement, cependant, que l'institution a besoin de plus de 4 millions de livres pour terminer les travaux sur la nouvelle galerie - jusqu'ici, elle a investi £ 405 835, comme d'Octobre 2011. BJP comprend la galerie londonienne ne sera pas ouverte jusqu'à fin 2013.
Pour plus d'informations, visitez le site Tate, V & A et du National Media Museum.

Huit pour Tate
Tate seul a passé près de £ 1.5m entre 2007 et 2010 d'acquérir 252 ensembles de travaux d'une variété de photographes, des agences et des galeries. Voici ses huit investissements les plus chers au cours de cette période de temps.
£ 340 250 - Bahreïn I par Andreas Gursky.
£ 286 078 - Images de l'histoire de A, B Histoire et Mémoire de la série Les enfants de Robert Frank.
£ 108 000 - Série de 103 photographies de la jardiniers promener le chien, et AONB projets par Keith Arnatt.
£ 85 837 - Haine par Gilberto Zorio.
£ 69,996 - Série de six photographies de Paul Graham.
£ 43,668 - Série de six photographies de Taryn Simon.
£ 38,687 - Série de 13 photographies de Guy Tillim.
£ 20,000 - de marcher dans - Massacre sur la montagne, à Jérusalem, 08 Octobre 1990 par Gustav Metzger.

Andreas Gursky dossiers
Andreas Gursky Der Rhein II est devenue la photographie la plus chère du monde en Novembre 2011 quand il est en vente chez Christie à New York, écrit Joanna Cresswell.
Le verre montées sur l'image 350x200cm, dont il existe six exemplaires, vendu pour 4,3 M $ (£ 2.7m) 1981 dépassements de Cindy Sherman Untitled # 96 qui a vendu pour 2,4 M £ - également chez Christie à New-York - retour en mai 2011.
La photographie, exceptionnellement minimale dans ses détails, a causé beaucoup de controverse, comme l'artiste numérique enlevé tout ce qui pourrait empiéter sur l'effet sombre de la photographie, y compris les cyclistes, promeneurs de chiens et même le bâtiment d'usine dans le fond.
Tate, qui a lourdement investi dans la photographie au cours des trois dernières années, détient une copie de Der Rhein II dans sa collection. Il a aussi Cindy Sherman Untitled # 97, # 98, # 99 et # 100.

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No Pasaran
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£ 108 000 - Série de 103 photographies de la jardiniers promener le chien, et AONB projets par Keith Arnatt.

En comparaison de cette série canine qui l'air fort intéressante, "la France à 20m" ou "la France comme tu veux" c'est de l'art dadaïste pas fait pour les masses.

E.B.

Emmanuel Bigler écrivait:
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> £ 108 000 - Série de 103 photographies de la
> jardiniers promener le chien, et AONB projets par
> Keith Arnatt.
>
> En comparaison de cette série canine qui l'air
> fort intéressante, "la France à 20m" ou "la
> France comme tu veux" c'est de l'art dadaïste pas
> fait pour les masses.

Les masses "laborieuses" cela n'existe plus en Europe,
Il reste juste des consommateurs insatisfaits et des "Riches" satisfaits.

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No Pasaran
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Henri ,

En France les masses laborieuses se sont éteintes avec Georges MARCHAIS

A plus

AB

A.BAKOEL écrivait:
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> Henri ,
>
> En France les masses laborieuses se sont éteintes
> avec Georges MARCHAIS
>
> A plus
>
> AB

C'est aussi ce que je pense.
Et je regrette Georges Marchais, surtout en campagne électorale.

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No Pasaran
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Henri Gaud écrivait:
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> A.BAKOEL écrivait:
> --------------------------------------------------
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> > Henri ,
> >
> > En France les masses laborieuses se sont
> éteintes
> > avec Georges MARCHAIS
> >
> > A plus
> >
> > AB
>
> C'est aussi ce que je pense.
> Et je regrette Georges Marchais, surtout en
> campagne électorale.


+ 1000
Avec les zozos qui postulent, on va avoir beaucoup de temps libre pour faire des photos.
(j'ai faillis dire "guignols" mais les guignols ont le mérite de faire rire. Nos zozos sont pitoyables...)

Bonsoir ,

C'est vrai qu'une émission de TV ou de radio avec Georges MARCHAIS , c'était du grand Art .

Bonne soirée

AB

Bonjour,
tout d'abord il faut redire que la Tate est gratuite !
C'est un plaisir que de pouvoir y aller juste pour une heure, voir ou revoir une oeuvre sans devoir payer presque 10 euros à chaque fois.

L'article est intéressant parce qu'il montre que la Tate fait participer des fonds privés à sa politique d'achats.
Comme la valeur des oeuvres est sujette à la spéculation (l'article le dit bien), c'est un moyen de s'en protéger un peu.
Cela évite que l'argent des contribuables engraisse le marché sur des valeurs à court termes (qui se souvient du peintre Mathieu ? si, si la pièce de 10 francs … dont les dizaines de tableaux achetés à prix d'or pourrissent aujourd'hui dans les réserves … à juste titre !).
C'est assez malin aussi de la part de Tate : ceux qui font et défont les cotes sont les mêmes qui financent les musées (pour bénéficier des avantages fiscaux, pas vraiment pour l'amour de l'art, faut pas rêver !).
Ils auront donc tendance à protéger la cote des artistes achetés par la Tate.
Pour peu que de leur coté ils achètent aussi quelques oeuvres de ces artistes c'est "tout bénéf" : la présence des oeuvres dans les collections de la Tate et les expositions feront de toute façon monter la valeur des oeuvres. Ca c'est pour la partie gros sous : "Je te tiens, tu me tiens par la barbichette".
Du coté art proprement dit, on peut également espérer que dans ce type d'association il y ai du bon : si les financeurs privés sont intégrés aux commissions d'achats, ils devront écouter le jugement des conservateurs.
Si ces derniers font bien leur boulot, ils pourront peut-être remettre un peu des sens et d'intelligence dans tous ce vent triste qu'est l'art aujourd'hui (cf. les dernière interviews de Saatchi ou de Richard Serra : "Tout ce que je peux dire, c'est qu'il y a aujourd'hui dans l'art beaucoup d'insoutenable légèreté et de divertissement. C'est une légèreté qui ne t'enracine pas, et qui se contente de tout nettoyer sur son passage").

Cela évitera peut-être que, comme en France, la politique d'achat des musées soit entièrement dictée par les marchés dans une collusion scandaleuse entre argent public et intérêts privés.
Les uns courant derrière pour assurer leur carrière sans courage, les autres vidant les tiroirs-caisses en fourguant du vent.

Je vois ainsi avec grand plaisir que la Tate a acheté des oeuvres de Thomas Joshua Cooper, dont le travail me fait rêver et Taryn Simon qui est intéressant aussi … ça donne envie d'y aller.

interviews de Saatchi ou de Richard Serra : "Tout ce que je peux dire, c'est qu'il y a aujourd'hui dans l'art beaucoup d'insoutenable légèreté

Merci Pierre pour cette intervention très éclairante pour un béotien que je suis.
Si c'est M. Serra qui parle de « légèreté », c'est vrai qu'il est orfèvre, ou plutôt : forgeron en la matière ; ceux qui connnaissent ses superbes tôles courbes (** note 1) savent ce que je veux dire ;-)

(** note 1) il y a des tôles de Serra au Guggenheim à Bilbao, et il y eut une expo temporaire chez Beyeler à Bâle ; l'une des oeuvres de Serra que j'ai trouvées les plus marrantes chez Beyeler, c'est deux bonnes grosses plaques de tôle de 5 cm d'épais en vis à vis, l'une au sol sans aucune barrière de protection, l'autre au plafond, juste à l'aplomb de la précédente : j'peux vous dire qu'il y avait assez peu de visiteurs qui s'enhardissaient à poser le pied sur la tôle du sol ;-);-)
... alors que les superbes bronzes polis de Brancusi, exposés en même temps, auraient évidemment mérité qu'on les touche pour en savourer la perfection de polissage ;-);-) pas léger non plus, un bronze de Brancusi !!

E.B.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 14/01/2012, 10:51 par Emmanuel Bigler.

Bonjour Emmanuel
J'ai un peu suivi de loin le bonhomme Serra lorsqu'il a réinstallé sa pièce Clara_Clara aux tuileries.
Ce qui m'a étonné, c'est qu'il dessine tout le temps.
Brancusi que tu évoques, utilisait lui la photographie pour rendre compte de l'esprit de son travail. Formé par Man Ray et .. en grand format of course.
Comme quoi il s'agit bien là d'un mode de réflexion ...