L’évolution du bokeh selon les capteurs argentiques et numériques
Mémoire de Marie-Laure Tombini (Photo 2006) - Directeurs de mémoire : Pascal Martin et Henri Gaud
lundi 4 juillet 2011
Les technologies numériques sont aujourd’hui utilisées en grande majorité par la profession, mais un questionnement subsiste sur leurs qualités. D’ailleurs, d’autres comparaisons entre argentique et numérique sont à l’étude cette année.
Certains photographes sont encore réticents à l’utilisation des nouvelles techniques, pensant qu’ils auront un rendu moins « beau » quant à la profondeur de champ. D’autres font des essais, pour voir ce qu’il en est en réalité. La profondeur de champ en numérique n’a pas encore été l’objet de recherches approfondies.
L’article de la revue Le Photographe montre qu’elle s’exprime différemment selon les marques d’appareil photos et la taille des pixels. Étant donné l’ampleur d’une étude générale sur l’ensemble des appareils photographiques, il a fallu restreindre notre travail à un domaine précis : les appareils professionnels. Dans ce mémoire, nous avons étudié un concept récent dans l’étude du flou : le bokeh – prononcez bo-ké. C’est un terme japonais utilisé pour décrire la qualité des points en dehors de la zone de profondeur de champ. Il se concentre sur l’analyse de la tache floue, sa forme et son intensité.
Nous avons voulu définir un protocole de test par la mise en place de différentes mires. Nous avons pu comparer le flou - en terme de bokeh - d’un système numérique et d’un système argentique, en prenant en compte les paramètres de chaque technologie.
Le site AEVLL
Le mémoire
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