M.GUIGUE
L'odeur , je n'y ai pas pensé !! mais le dernier essai a été destructif ; j'ai donc répondu que je n'avais pas trouvé de moyen élémentaire de faire la distinction .
Bon dimanche à tous .

À propos de combustion, j'achetais il y a quelques années du tissus noir (devinez pour quoi ?) chez le marchand de tissus de ma ville de province, un marchand de tissus viennois digne du marché Saint-Pierre parisien.

Je trouve une étoffe répondant à ma recherche, et 130 de large et d'une opacité me convenant.

Je demande au vendeur : <<C'est du coton ?>>

<<Oui, côttonnn ... Monsieur >>

Je tire alors un fil ou deux du tissus en question et sort de ma poche un briquet pour voir comment se comporte la fibre.

<< Monsieur, c'est côttonn, mélangé ... >>

Conclusion : faites toujours un test de combustion ...

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Quand-même, 'Gérard' qui posez la question, avec les réponses dévouées de mes petits camarades de jeu sur ce site, voire votre expérience en matière de papiers, un simple test avec un révélateur d'émulsion photographique (non acide, faut-il préciser) aurait déterminé la nature de ces deux feuilles de papier de 30 cm2 et d'aspect blanc sans caractéristique au verso ; déterminé sans faille en évitant cette question amusante.

C'est en toute amitié, Gérard ; c'est tellement gros ... !

Maintenant, avec le HCl (acide chlorhydrique dont vous disposez, un petit truc :

Mettez à part égale quelques fragments des deux papiers suspects en question dans un appareil électrique du type robot de cuisine qui réalise parfaitement des milk-shake parfumés selon que l'on y introduit banane ou fraises selon la saison. (un ajout léger de muscade râpée en exauçant le parfum)

Versez la pâte obtenue dans une cuvette de taille appropriée remplie pour moitié des deux éléments dont vous disposez et attendez sagement que le temps fasse son office.

Les premiers fragments qui remontent à la surface de ce mélange devraient être issus d'une fabrication papetière traditionnelle ; n'y attachez pas d'importance et écumez.

Les remontées intéressantes vont venir. Patience ...

On s'intéresse alors aux fragments qui sont restés au fond du récipient. Ce sont eux qui répondent à la question !

À part ces deux échantillons, combien de ramettes ? Ça peut valoir le coup.
M.G.

Encore une fois, Gérard, avec toute la considération que je peux avoir pour vous et un très grand respect, ne tenez pas compte de mes propos ci-dessus.

Ce ne sont que des mots que j'ai eu plaisir à écrire et, comme le dit Henri un peu plus haut, bien qu'ayant plein d'autres choses à foutre, je passe avec vous tous un moment hilarant et ...
vais aller changer mes couches de ce pas.

Bonne continuation ...

M.G.

M.GUIGUE : c'était écrit dans l'énoncé du problème " Pour les 2 pas de noircissement au développement". Normal si l'un des échantillons est un papier photo développé fixé .
L'expertise de l'Ecole de Papeterie à Grenoble , un peu coûteuse probablement .
Je ne vois pas ou peut être le "moment hilarant "? ni pour vous "le plaisir d'écrire"comme ci-desus .
Bon dimanche .