Dpi : je penche plutôt de ce côté là effectivement, je vais regarder ma configuration. Sinon, il s'agit de LR 2.6 (pour avoir testé la Beta 3, l'apport des nouveaux algorithmes de dématriçage est presque insignifiant, notamment dans les tons chairs)
Henri : tout à fait d'accord avec vous ! J'avais pré-programmé la balance des blancs à Soleil juste pour le JPG, pour avoir un rendu à peu près fidèle. En fait, je me suis rendu compte que ma charte gris neutre... ne l'est pas du tout ! Je vais devoir me procurer une QPCard, qui est plus d'être bon marché serait l'une des plus neutres du marché.
Pascal : concernant la balance des blancs, il faut bien voir qu'il s'agit, in fine, de faire varier la proportion de rouge, de vert ou de bleu. A la base, les photosites reçoivent ce qu'ils peuvent de la lumière et c'est converti numériquement : il n'y a pas d'interprétation à ce moment là.
La différence c'est qu'en JPG, les valeurs (sur 14 bits) qui proviennent du capteur sont traitées (changement colorimétrique, ajout d'accentuation, saturation, ...etc) pour donner un JPG, sur 8 bits par les algorithmes propriétaires du constructeur. C'est tout ce qui fait la signature d'une image Nikon, Canon ou autres. En RAW, ce qui sort du capteur est simplement enregistré et ce sera au logiciel de dématricage d'appliquer une
balance des blancs de référence qui est, au choix, soit celle du boîtier, soit celle du logiciel, que l'on peut changer à souhait.
Personnellement, je considère la balance des blancs comme une couche d'abstraction vulgarisée pour ce que l'on appelle en informatique des LUT (tables de correspondance, Lookup table).
JR.
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