C'est le principe du retour inverse de la lumière, version Moisenay-sur-trichrome : qui veut mettre en avant les qualités de son image à la manière de chez RLZ, photographie le bonsaï de service en visant de l'intérieur de la pièce vers l'extérieur ; qui, au contraire, veut l'accabler de ses faiblesses indignes en matière de lumière parasite diffuse, force la vieille bête à regarder le bonsaï depuis l'extérieur, entouré d'un mur blanc, un jour d'été fort ensoleillé...
Et ne parlons pas de bonsaïs dans la maison d'un BD-phile : çà me rappelle trop certaines planches désespérantes des
Idées noires de Franquin...
E.B.