Didier bonsoir
La première réponse de François Croizet est la bonne:
Ce qui est important c'est la bonne répartition des densités sur le négatif, en particulier le contraste ou plutôt le facteur de contraste (gradient) adapté aux caractéristiques sensitométriques du procédé: cyanotype, papier salé, charbon, platine etc.
Depuis les films Guilleminot cités par Claude Plessier il y en a eu bien d'autres: par exemple Bergger BPF18 et surtout les films arista ortho litho
voir [
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On peut évidemment, si on a réussi à caler les réglages, réaliser les négatifs jet d'encre sur transparent ou même sur papier éventuellement ciré pour augmenter la transparence
Mais on peut tout simplement utiliser les plans films argentiques FP4 ou Trix ou Tmax dont on contrôle assez facilement le contraste au développement mais il est plus difficile d'en trouver d'un format au delà du 8x10.
Le cas de l'héliogravure cité par Claude est particulier car on insole sous un positif et non sous un négatif, on est donc obligé de passer par l'agrandisseur ou un contact ou comme Claude le faisait par l'impression jet d'encre sur transparent
Modifié 1 fois. Dernière modification le 04/11/2012, 20:31 par Pronier.