De mon côté le modèle (peut importe le nom), n'est qu'une matière, il n' a pas de liberté, je ne cherche pas de représentation, de vérité, de réel, le réel n'est qu'un porte à faux qui me permet de construire une ambiguité.
La photographie n'est qu'une élégante fiction, un récit, en portrait comme dans tous les autres domaines que peut aborder le photographie. Bien sûr certains photographes ont une autre perception des choses, et font du photojournalisme digne des années 50, jusque dans le fond de leurs studio.
Corratgé dans ses portraits nus complètement flous se situe lui aussi dans cette élégante fiction, et le modèle n'a aucune liberté, il n'est qu'une matière maléable, même si au cours des poses Pierre garde cette relation basé sur la liberté, mais en fait ces photos seraient faites avec des mannequins de vitrine que la seul liberté serait celle du photographe, et les photos seraient très proches, la liberté du modèle n'est pas un critère déterminant, mais juste un "truc" relationnel.
Mais ou est donc la liberté du cobaye
;-))))
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No Pasaran
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