Pourquoi ne pas consulter un horloger montres mécaniques, cela existe encore, M.Bigler va vous trouver cela dans la boucle fortifiée du Doubs .
Euh.. M. Gérard, pas certain qu'un horloger connaisse les obturateurs photographiques. Mais il aura certainement l'habileté et les compétences nécessaires pour, au moins, étudier le mécanisme, le nettoyer et le re-lubrifer sans l'abîmer. Personnellement, avec toutes l'estime que je porte à nos horlogers, je préfère confier mes compurs à ceux dont c'est le métier et la passion.
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Un pique huile ? Oui mais suisse-de-précision ;-);-)
Tiens un autre lien sponsorisé, ou plutôt un spécial-copinage (car je connais l'un des auteurs)
« Traité de construction horlogère » par Michel Vermot, Philippe Bovay, Damien Prongué, Sébastien Dordor, Vincent Beux, Presses polytechniques et universitaires romandes,
Plus d'infos sur cet ouvrage irrésistible, ISBN : 978-2-88074-883-8, 1116 pages et 1976 grammes : ça plaisante pas ;-);-)
Bien entendu, je n'imagine guère un de nos lecteurs amateur de fine mécanique qui ne serait pas déjà équipé de cet autre traité de base :
« Théorie d’Horlogerie », Charles-André Reymondin, Georges Monnier, Didier Jeanneret et Umberto Pelarratti : Fédération des Ecoles Techniques (1998) ISBN 294002510X
E.B.
Modifié 2 fois. Dernière modification le 25/10/2011, 12:24 par Emmanuel Bigler.