Auteur: Georges Giralt
Date: 09-05-2009 18:46
Bonjour !
Expérience de l'été dernier entre Toulouse et le Canada (cote Pacifique).
Film 120 Delta 3200.
Départ Toulouse, le préposé au contrôle ne fait pas de raisonnement, regarde dans la boite carton (qu'il a ouverte lui même) et constaté la présence du sachet Ilford scellé. Je passe.
Roissy ... Contrôles visuel, discutions mélangée à la discutions concernant la soirée de la veille fort arrosée. 10 minutes lus tard, arrive une dame avec un gros coton tige (je tremble), elle le passe partout sur le sachet film et se dirige vers un gros appareil censé détecter les explosifs, et je passe (mon épouse râle.... )
Au retour, aéroport de Vancouver, même scénario, plus rapide qu'a Roissy. Politesse et courtoisie.
Arrivée à Roissy, émeute. Appel de Dieu le Père sans doute (vu le temps qu'il lui a fallu pour arriver). Insiste pour radiographier les films. S'emporte et tente l'intimidation : résistance aux contrôles, atteinte à l'autorité ...etc...). Un de ses subalternes propse de réaliser une recherche d'explosifs(avec le coton tige géant). Et le fait. Quand il revient, le chef se calme en voyant que son autorité a été inutile...
Arrivée à Toulouse, ouf ! Pas de prison ni de film voilé.
Mon épouse jure qu'elle vérifiera mon sac photo la prochaine fois que nous partirons en avion ensemble.... Alors, si vous ne voulez pas divorcer, ........
Mais en conclusion, c'est possible d'éviter le passage des films DE PLUS DE 400 ISO au contrôle visuel. Pour ceux de moins de 400 ISO, on n'y coupe pas. Et surtout, ne discutez pas. Ils n'ont PAS D'HUMOUR ! En France vous risquez gros (coté justice) s'ils prennent la mouche. Et en Amérique du Nord, ils déverrouillent facilement le holster du flingue.... Politesse et profil bas de rigueur...
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