Auteur: Christian Martin
Date: 30-06-2004 23:39
Je connais des gens qui traduisent par logiciel le livre de "Phil Davis", parce qu'ils savent qu'il y avait du bon (photographique) à apprendre. Apres tout on se donne la peine d'apprendre à manipuler un appareil photographique parce que le but est de faire une image. On peut tout aussi bien se donner la peine d'apprendre un langue pour avoir accès à un savoir que notre langue ne donne pas (dur dur à admettre n'est ce pas ?) Entre un appareil photo et une langue étrangère, il n'y a qu'un petit pas à franchir, celui de l'effort à faire par rapport à ce que l'on veut en faire.
N'empêche que, ceci s'adresse à Philippe Berger, je n'ai pas eu l'occasion de lire beaucoup de littérature française sur les négatifs "digitaux", sauf ceux traduits de l'anglais (de l'américain). S'il y en a, je suis vivement intéressé. Ce qu'a pu écrire Christian N, je connais. Le point faible est qu'il est seul à s'exprimer, alors qu'il y a d'autres pratiquants et qu'il serait intéressant de savoir un peu ce qu'ils font, un peu quoi !
Si l'on part du principe qu'en ne disant rien on ne dira pas de conneries, on n'avancera pas beaucoup. On peut aussi imaginer qu’on ne dit rien pour que les autres se sachent rien. Bravo. Il devrait bien y avoir en France, ou en francophonie, des aventureux qui ont déjà tracé ce domaine. Echec ou satisfaction ?
Je serais (nous serions) vivement intéressé par tout article sur ce sujet, s'il retrace une expérience personnelle, plus que s'il se borne à traduire ce qu'un américain dans son coin a pu produire avec son imprimante.
Il devrait y avoir mieux à faire que de traduire ce que les autres font, par exemple faire ses propres armes et publier son expérience. Cet effort aurait il disparu de nos compétences ?
Alors, mon tailleur est il riche ?
Ou n’en a t’il que l’apparence ?
CM
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