Auteur: E. Bigler
Date: 11-12-2002 14:58
Les tubes fluorescents modernes ne contiennent pas de néon, bien
qu'on continue parfois à les appeler de cette façon, un peu comme
le célèbre fil de fer de cuivre. Lorsque la question de la pollution par les piles photo au mercure, on entend parfois des grincheux allergiques à l'oxyde d'argent, à l'alcali-manganèse ou au lithium objecter qu'on ne se préoccupe guère du mercure contenu dans les tubes d'éclairage fuorescents.
Leur puissance en entrée est comprise entre 5 et 40 watts, selon la longueur. Dans les installations économes en énergie alimentées par panneaux solaires il y a des petits tubes qui conviendraient à un petit caisson lumineux.
Il y a le problème de connexion avec le ballast qui est
une bobine à noyau de fer indispensable à la régulation
de la décharge dans le tube. Il y a aussi le 'starter'
qui est une petit tube à déchage auxiliaire pour amorcer le grand.
À usage domestique les grands tubes les plus courants font 30 et 40 watts
et chaque tube est monté avec son starter et son ballast. Les tubes sont souvent couplés par paires dans les éclairages de bureau, il me semble qu'il y a une astuce derrière cela.
Si vous couplez plusieurs tubes en parallèle, s'allumant en même temps, il est peut-être
possible de regrouper soit les ballasts soit les starters, c'est un point à vérifier. Si vous utilisez le support complet pour un tube unique
acheté chez un marchand de bricolage, au moins
en conservant un ballast et un starter pour chaque tube vous ne ferez aucne erreur mais il me semble qu'il y a plus astucieux que cela.
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