Auteur: Henri Gaud
Date: 22-05-2004 10:00
Bonjour,
<<<J'ai cru remarquer qu'il valait alors mieux l'utiliser par comparaison (surtout quand on travaille en négatif) plutôt qu'en résultat absolu.>>>
Personnellement, j'utilise le Colormeter IIIF de Minolta, et ai gardé le Colormeter première mouture des années 70 (modèle à galvano).
Pour ce qui concerne la mesure et son résultat, c'est plutôt simple, dans les grand édifices plusieures mesures s'imposent mais cela reste simple. Il fait ensuite faire des choix.
Il n'y a pas de différence entre le néga et l'ekta si l'on est puriste, il y a juste une courbe plus longue en néga, ce qui pourrait nous amener a penser latitude de pose, mais c'est un leurre, (latitude de pose induit tolérance à la variation de T°C plus grande).
Donc pour le néga, il y a plus sûr une tolérance, mais surtout pour des raisons physiologique : on y voit rien, sur un Ekta les défauts sont criants de vérité.
Pour ce qui est de la correction a apporter une fois les mesures faites, le principe est simple.
Si l'on veut respecter le sujet il faut suivre les corrections (filtrage) à 100%, si l'on veut accentuer l'ambiance lumineuse, il ne faut pas filtrer, on trouvera toutes les nuances possible entre les deux, c'est cette interprétation entre respect du sujet et respect d'ambiance qui est délicate, et quand le sujet c'est l'ambiance, personnellement si le filtre est léger je m'en passe, s' il est significatif, je coupe en 2 et vérifie les filtres plaqués sur la sonde du thermo en circulant dans l'édifice (dans le cas d'un intérieur, ou d'un extérieur de nuit).
Pour les multisources, on peut aussi faire du multipose, multifiltré, pour recomposé un truc photographiable, mais les ampoules monochromatiques ne sont pas filtrable, ce qui ne nous arrange pas, le jaune Sodium étant assez laid et monotone.
HG
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