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 Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: Guillaume Péronne 
Date:   04-04-2004 14:09

…Troisième opération. exposition à la chambre
noire. mettez scrupuleusement au point l' image sur le verre
dépoli, cherchant la plus grande netteté à la partie
intermédiaire entre le premier et le dernier plan. Il y a un
point où l' image paraît nette dans tout son ensemble, c' est là
qu' il faut s' arrêter en tenant compte de l' épaisseur des
papiers. Je ne puis préciser le temps de l' exposition à la
lumière, l' expérience seule pouvant bien le démontrer. De ce
temps d' exposition dépend toute la beauté de l' image : je ne
saurais donc trop engager à bien s' y attacher. Pour un portrait
à l' ombre, avec un objectif de plaque entière, double, verres de
8 centimètres de diamètre, je fais poser entre 2 o secondes et
2 minutes ; et au soleil, de 2 ài 2 secondes. Pour le paysage,
avec un objectif normal simple et un diaphragme de I 5 à 2 o
millimètres de diamètre, l' exposition devra être de 4 o
secondes à 5 minutes au soleil suivant son intensité. La
chaleur est aussi une grande cause d' accélération : ainsi, en
chauffant légèrement l' ardoise qui
porte le papier préparé, on opère beaucoup plus vite, mais il
faut qu' alors l' objectif soit aussi chauffé à la même
température, sinon il se couvrirait de vapeurs qui empêcheraient
la formation de l' image. Lorsque l' on opère au soleil, cette
couche de vapeur se forme très-souvent, il faut donc toujours
laisser d' abord un peu s' échauffer l' objectif et avoir soin de
l' inspecter pour l' essuyer au besoin. L' exposition à la
radiation lumineuse terminée, l' image est peu apparente et est
développée par l' opération suivante, qui peut être faite une
demi-heure ou une heure après. Quatrième opération.
développement de l' image…


L'intégralité du texte de Gustave Le Gray, Traité pratique de photographie sur papier et sur verre, ici.


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: jean-louis SALVIGNOL 
Date:   04-04-2004 15:28

Bonjour Guillaume,

Et un grand merci; pour cette merveille

JLS


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: Guillaume Péronne 
Date:   04-04-2004 18:35

Comment exécuter une bascule quand la chambre en est dépourvue…

Lorsque je fais un portrait assis, les genoux et les
mains arrivent toujours beaucoup trop en avant pour pouvoir les
avoir bien nets. J' y arrive cependant en me servant d' une
ardoise
courbée en sifflet vers le haut seulement de la chambre noire.
Pour obtenir cette courbe, je fais placer une personne sur une
chaise, les mains sur les genoux dans la position la plus
habituelle. Je calcule sur le verre dépoli la différence qu' il y
a entre la longueur du foyer sur le visage et celui sur les mains
; cette différence établie me sert à faire la courbure de l'
ardoise à la place correspondante de l' image. La place qu'
occupe la tête doit être scrupuleusement au même point que le
verre dépoli de la chambre noire ; on met exactement au point
dessus sans s' inquiéter des mains, qui se trouvent dans l'
épreuve venir parfaitement nettes par l' effet du rallongement de
foyer produit par la courbe de l' ardoise.


NB : la fin du texte donne des éléments de choix d'objetifs et quelques conseils de prise de vue toujours applicables !


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: Michel Guigue 
Date:   04-04-2004 19:27

Sympatique de lire les anciens ; grandes leçons à prendre !

Je vais me mettre à ceintrer mes chassis. ;-) :-))

M.G.


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: Guillaume Péronne 
Date:   04-04-2004 19:53

<<ceintrer mes chassis>>
Quelle idée !?!

Erreur !!

Je crois qu'il faut prendre le mot "courber" dans le sens d'incliner, comme les courbettes de salon ;-);-)
D'ailleurs, Le Gray parle de courber "en sifflet", ce qui confirme l'idée d'inclinaison…


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: Michel Guigue 
Date:   04-04-2004 20:37

Bon, mais alors, la courbe de l'ardoise qui se trouve à la place de l'image ??

Si on lit un peu moins en diagonale le texte complet proposé par Guillaume avec le lien "ici" en fin de son premier message, il s'avère que Gustave Le Gray parle de photographie sur papier sensibilisé par les méthodes qu'il décrit en détail ; papier qui est placé sur une ardoise.

Pour remplacer une bascule inexistante sur l'appareil de prise de vue, il fait reposer le papier préparé sur une ardoise taillée de telle façon qu'elle ait une courbure "en haut de la chambre noire", correspondant aux mains situées en avant dans le cadre d'un portrait en bustre.

La surface sensible est donc courbe et suit grossièrement l'image du sujet "nettement".

Voilà ce que j'ai compris, d'où mon intention de courber les chassis pour reproduire cette façon de faire.


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: Thierry Rebours 
Date:   04-04-2004 20:54

mais une ardoise ne se courbe pas ! ca casse !
je pense aussi qu'il s'agit de l'incliner, mais n'en comprends pas très bien le fonctionnement.


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: Guillaume Péronne 
Date:   04-04-2004 21:34

Je pense qu'il faut remplacer dans le texte "courbure" ou "courbe" par "inclinaison" pour retrouver le sens ;-)
Le petit Robert donne en deuxième sens pour courber : Pencher en abaissant. Voir incliner.
Si on imagine la chambre de Le Gray de profil, la tranche de l'ardoise inclinée (courbée !-)) et la tranche du dépoli (immuablement verticale ; quelle idée d'acheter une chambre sans bascules !-)) forment un triangle ou "sifflet"…
Limpide !

à Michel,
Je ne voulais pas être vexant ;-);-)


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: studio.martinet@wanadoo.fr 
Date:   04-04-2004 21:38

c'est presque génial ce texte(pour reprendre la définition de mr h.
gaud concernant le génie sur un autre fil) finalement tous nos chers prédecesseurs étaient quand meme des....bons(penseurs,bricoleurs,démerdards,et chimistes)je me suis souvent senti petit devantle savoir-faire débrouille-bidouille des anciens.avec ma ptite technique j'avais l'air d'un con ma mère avec ma pt'ite technique j'avais l'air d'un con.mais bon faut bien compenser.christian


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: marc fer 
Date:   04-04-2004 21:40

Bonsoir a tous,

Le Gray est un habitué de la mystification technique.Ses marines qu'il disait prendre en instantané, n'etaient que le montage de deux prises de vues (une pour les hts lumieres,une pour les basses).

mf


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: Michel Guigue 
Date:   04-04-2004 21:40

Je cite notre vénérable ancêtre Gustave Le Gray :

-------------
Appliquez alors le papier ainsi préparé tout humide sur une
ardoise, ...

Le papier, ainsi appliqué sur l' ardoise,
peut y rester environ une heure sans s' en détacher, et se mettre
, dans cet espace de temps, à la chambre noire....

Lorsque je fais un portrait assis, les genoux et les
mains arrivent toujours beaucoup trop en avant pour pouvoir les
avoir bien nets. J' y arrive cependant en me servant d' une
ardoise courbée en sifflet vers le haut seulement de la chambre noire.
-------------

Il place donc le papier préparé humide, solidaire de l'ardoise dans la chambre noire. Il faut comprendre : je place la surface sensible dans la chambre photographique. Autrement dit, je place un "chassis" chargé.

Par "ardoise courbée", il faut comprendre ardoise taillée en courbe vers une extrémité ; ce qui fait que le papier épouse une courbe que Le Gray a judicieusement déterminé, comme il l'explique.

La partie du haut du papier (courbé) correspondant à la partie basse du sujet, et en particulier aux mains situées en avant de la tête, est donc légèrement en arrière et "focus" sur les mains, quand la mise au point a été faite sur les yeux.

Un petit dessin expliquerait bien mieux tout ceci, mais je pense que c'est maintenant plus clair.

C'est une surface sensible à géométrie variable, destinée à un cas précis tête-mains.

M.G.


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: Guillaume Péronne 
Date:   04-04-2004 22:11

Michel, je vais devenir vexant !-)
Relisez mon message 3 lignes plus haut, ou ouvrez un dico…
Pour moi, la méthode de Le Gray est limpide :
1/ il fait le point sur le visage (avec le corps arrière probablement) + repérage du tirage
2/ il fait le point sur les mains + repérage du tirage (plus long qu'en 1)
3/ re-mise au point sur le visage
4/ mise en place du "châssis" et courbure (soit inclinaison) en décollant le haut de l'ardoise pour sa distance au dépoli corresponde au tirage du point 2 soit un pivotement de l'ardoise sur sa base, une bascule !
Faîtes un dessin, c'est limpide !
Revoir Sheimpflung impérativement !-)

Cordialement.


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: Guillaume Péronne 
Date:   04-04-2004 22:18

Marc,

Le fait qu'il ait utilisé plusieurs négatifs est une chose connue ; j'y fais d'ailleurs référence dans un autre fil.
Quand au fait qu'il ait affirmé les prendre en un seul cliché, vos sources m'intéressent.


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: Michel Guigue 
Date:   04-04-2004 22:30

"Lorsque je fais un portrait assis, les genoux et les
mains arrivent toujours beaucoup trop en avant pour pouvoir les
avoir bien nets. J' y arrive cependant en me servant d' une
ardoise courbée en sifflet vers le haut seulement de la chambre noire."

Dixit Le Gray !

"ardoise courbée en sifflet vers le haut..."

Ce n'est pas une ardoise inclinée. Ardoise courbée qui retient par capilarité la surface sensible (papier) fraichement préparé et encore humide.


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: henri Gaud 
Date:   04-04-2004 22:32

Bonjour,

Pourquoi accorder tant d'importance à ce texte, vu les chambres de l'époque, l'idée que l'on puisse Scheimpfluger les doigts dans le nez me semble un peu hazardeuse.

Les chambres étaient très simples et les optiques à faible contraste ne pemettent pas un point fiable, heureusement le tirage contact permet des diaf franchement fermé.

Autrement on peut dire avec certitude que le camarade Scheimpflug a posé son brevet en 1904, alors Le Gray ignorait tout de cela, il utilisait sans aucun doute une méthode empirique et on aimerait voir le résultat, ce serait plus simple pour nos conclusions que cette prose totalement fantaisiste.

HG


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: Michel Guigue 
Date:   04-04-2004 22:53

Bonsoir Henri,

Le camarade Le Gray a simplement mis au point un procédé géniale consistant à placer en bonne place dans sa "chambre noire" (appareil de prise de vue) une surface sensible en papier humide fraîchement préparée et d' allure courbe en fin de parcours, pour être net partout. Papier "moulé" sur une ardoise ad-hoc. Il l'explique clairement.


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: Guillaume Péronne 
Date:   04-04-2004 22:53

Michel,

C'est promis, après j'arrête…
Mais une dernière fois :
1/ "courber" signifie aussi "incliner" (voir un bon dictionnaire).
2/ tailler une pièce "en sifflet", par exemple en charpente, signifie lui donner un profil triangulaire.
3/l'ardoise est un matériau feuilleté… de là à le tailler en courbe …! A ma connaissance, elle se refend en plaques pour la couverture, se polie pour les billards ou les tableaux,… mais en courbe !? (peut-être par polissage d'une pièce épaisse !-))

Henri,

Sheimpflung vient évidemment après Le Gray, merci de le préciser.
Quand à cette prose, je dirais qu'elle est d'époque…
Comment sera perçue la nôtre dans 150 ans ?-);-)


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: Guillaume Péronne 
Date:   04-04-2004 22:55

Michel, si on poste en même temps, comment discuter ?
Vous êtes têtu !-)


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: henri Gaud 
Date:   04-04-2004 23:02

Bonjour,

Michel,

Avant de voir le Génie comme s'il en pleuvait, regardons les résultats plutôt que de nous fier a cette prose.

Net ne veut bien sûr pas dire la même chose que de nos jours, je reste dubitatif, sur les résultats et les moyens de controle, un spénopé aurait fait la même chose sans le moindre casse tête.

HG


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: Michel Guigue 
Date:   04-04-2004 23:05

On poste comme on peut, Guillaume ; en tout cas, la nuit portant conseil, demain apportera certainement une explication de texte complémentaire.


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: Guillaume Péronne 
Date:   04-04-2004 23:07

Michel,

Passons si vous le voulez bien au chapitre suivant.
J'ai un énorme doute sur un mot…
;-)


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: Michel Guigue 
Date:   05-04-2004 00:07

Peut-être sur le mot "têtu" ? :-))

Je parlais tout à l'heure d'un petit dessin explicatiF ; le voici ici :

http://photo.guigue.free.fr/legraymg2.jpg

Le texte de Gustave Le Gray s'exprime alors pleinement.

Modestement, je ne vois pas d'autre interprétation à ses propos, concernant les portraits auX mains nettes sans bascule.

M.G.


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: Guillaume Péronne 
Date:   05-04-2004 07:19

Un peu tiré par les cheveux !

Quoique…
En fait, les contemporains de Le Gray ont compris exactement la même chose, autrement dit ont compris de travers du fait d'une prose plutôt fantaisiste.
Scheimpflung, qui était à n'en pas douter un garçon sérieux, avit du mal à croire à cette interprétation, d'autant plus que des gens éminent commençaient à affirmer que, pour reproduire la même chose avec ses plaques de verre, Le Gray aurait fait fabriquer spécialement des plaques courbées…
Décidé à faire la lumière, Scheimpflung étudia le plus sérieusement qu'il pu la question, et poussa bien vite le Eurêka de rigueur : il découvrai à l'instant la règle de Sheimpflung !
" Mais c'est moi !? " se dit-il…
Aussi, pour éviter des ennuis futurs avec les ayant-droit de Le Gray, il s'empressa de faire breveter cette découverte qui nous vaut encore de joyeuses discussion.

Révisionisme ?
;-);-)

Bon jour.


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: Guillaume Péronne 
Date:   05-04-2004 07:27

Michel, au sujet du dessin : vu comme ça, cela me semble plus plausible…


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: henri Gaud 
Date:   05-04-2004 07:58

Bonjour,

Il y aussi une raison technique que vous ne semblez pas entrevoir dans votre passion a trouver ce texte génial.
Même si Le Gray avait anticipé Scheimpflug, le problème tient dans la qualité des optiques de l'époque, Scheimpflug prend tout son sens avec des optiques assez moderne, sinon avec des optiques proches du sténopé Scheimpflug ne fonctionne pas.

Cela dit que Le Gray ait quelques astuces c'est logique la photographie est un peu une suite d'astuces dans les débuts de son histoire.

HG


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: Guillaume Péronne 
Date:   05-04-2004 08:05

J'ôte le "n", pardon Mr Scheimpflug…


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: henri Gaud 
Date:   05-04-2004 08:16

Bonjour,

Michel,

Merci pour le joli dessin,

Cela fonctionne, mais que penser du résultat, cela donne une photographie a géométrie variable et des mains plus grande que les loi de la perspective ne le laisse supposer.

HG


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: marc fer 
Date:   05-04-2004 12:21

Bonjour a tous,
Bonjour Guillaume
"Quand au fait qu'il ait affirmé les prendre en un seul cliché, vos sources m'intéressent."
1-Il affirmait effectivement les prendre en un seul cliché-,ce qui me semble ma foi être une tromperie envers ses contemporains,l'a t'il payée plus tard par la faillite de son atelier et le manque de credits (financiers et intellectuels)qui marquent la fin de sa vie,mystere,ce qui est sur c'est que Le Gray est le photographe sur le marché de l'art le plus cher actuellement,et le moins qu'on puisse dire c'est que ses tromperies de l'époque se vendent trés cher.
Mes sources:-1
Centre national de la photographie
Hôtel Salomon de Rothschild
11, rue Berryer - 75008 Paris
Tél: 33 (0)1 53 76 12 32
Fax: 33 (0)1 53 76 12 33

mf


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: Guillaume Péronne 
Date:   05-04-2004 12:23

>>Mes sources:-1
Centre national de la photographie

Merci Marc.


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: Guillaume Péronne 
Date:   05-04-2004 14:00

Marc,

Je n'ai pas lancé ce fil pour ouvrir une polémique sur Le Gray.
Qu'il ait menti m'importe finalement peu (votre source est quand même un peu vague !-)).
Ce qui m'intéresse au travers d'écrits anciens, c'est de voir que presque toutes les questions techniques et théoriques (esthétiques) ont été abordées dans les premiers temps de la photographie.


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: marc fer 
Date:   06-04-2004 18:59

Guillaume,

"votre source est quand même un peu vague !-)"

Faut il que je rajoute aux coordonnées postales et telephoniques du Centre National de la Photographie,sa longitude et sa latitude en degrés minutes secondes d'arc,voire son altitude pour que ma source vous semble plus precise.

mf


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: Guillaume Péronne 
Date:   06-04-2004 19:10

J'aurai préféré un ouvrage…
Peu importe et merci de votre amabilité.


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: seb 
Date:   08-04-2004 15:05

" A force de vous lire, je me courbe de fatigue,
et cela m'incline... à m'en aller au lit !"

Sébastien Loubatié.


 
 Re: Des tracas quotidiens des photographes primitifs…
Auteur: Guillaume Péronne 
Date:   08-04-2004 15:24

bonne sieste…
' - o




 
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