Auteur: Christian Rousseaud
Date: 29-12-2005 19:30
Oui, on le croise souvent à Bièvres ou Chelles, plutôt dans l'après-midi, bardé de grands sacs plastique
Lorsque je lui avais acheté le mamiya 220, il avait fallu marchander durement et j'avais réussi à faire baisser le prix de 2 ou 300 francs.
A la fin, on avait quelques dizaines de F de désaccord, et je savais que je n'obtiendrais pas gain de cause. J'ai finalement accepté son prix, mais j'ai demandé un film en prime, plus pour voir jusqu'où on pouvait aller. Il a accepté en me disant qu'il n'avait que du 135.
Je paie, il me met l'appareil dans un sac plastique, je lui redemande le film qu'il avait comme de bien entendu oublié entre temps. Il en prend un derrière son comptoir, le met dans le sac avec le boitier.
Arrivé chez moi, je regarde le film : Un négatif couleur 12 poses "échantillon gratuit, ne peut être vendu"...........................
Quand je dis qu'il est très dur en affaires. Il m'a dit un jour que la photo, il s'en foutait, et que s'il faisait ce boulot, c'était uniquement pour gagner de l'argent. Sa franchise l'honore
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